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Théorie générale de l'exploitation
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On peut récupérer l'énergie de l'eau qui coule avec des barrages, on peut récupérer l'énergie du vent avec des éoliennes. On met quelque chose dans le chemin naturel pour récupérer de l'énergie.
On peut récupérer de l'argent avec les péages. Ce qui transite alors ce sont les voitures. On peut taxer les échanges et alors récupérer une partie de l'argent qui circule entre les gens. On peut récupérer des dividendes en dérivant les bénéfices qui devaient aller aux employés. On récupère de l'argent et donc du pouvoir comme cela, en mettant des "barrages" où passent les marchandises et les services. Pour amener les gens à acheter et donc à se faire taxer au passage, on place un barrage plus subtil entre les désirs et leur réalisation. On suggère avec les publicités que pour séduire, il faut le parfum axe, que pour avoir des enfants heureux, il faut du nutella, que pour être de bonne humeur le matin, il faut du ricoré etc.
Avec la taxe d'habitation et la taxe foncière, on récupère de l'argent et donc de l'énergie du besoin d'avoir un chez soi. En fin de compte on dérive de l'énergie de la pulsion de vie. En effet, l'argent donne le pouvoir et donc de l'énergie. Bien entendu, cela marche tant que les gens portent de la valeur à l'argent en question. Mais les dominants empêche le développement d'argents alternatifs et demandent de toutes façons la taxation de toute activité répétée de don ou de service. Il y a donc une dérivation de l'énergie du développement d'activités industrielles ou artisanales.
Il y a également un barrage entre la création monétaire et son utilisation par l'Etat, qui doit transiter par les banques privées d'abord (art. 104 du traité de Maastricht). Le payement des intérêts constituent une dérivation des impôts vers les financiers. Pour faire des dépenses sociales, l'Etat doit donc enrichir des personnes déjà riches. On canalise l'aspiration à la démocratie avec les partis politiques qui redistribuent après l'argent soit aux membres éminents du parti soit en achetant des choses aux "bonnes" entreprises. Les partis politiques récupèrent de l'argent de l'Etat, ou bien des multinationales avec les commissions. On taxe aussi l'exploitation des ressources dans les pays pauvres en y implantant des entreprises appartenant aux élites des pays riches. On met donc un barrage au niveau de la valorisation de leur territoire. On récupère l'envie d'aider ceux qui souffrent avec les associations caritatives dont une bonne partie des dons va dans les appels aux dons et dans des hôtels de luxe pour les bienfaiteurs dans le tiers-monde. L'aspiration à participer à la vie collective est canalisée par les impôts qui devient une partie de cet argent (dépenses non voulues par les contribuables, remboursement des intérêts de la dette).
On utilise l'envie d'être aimé pour obtenir des choses des autres. On pose des conditions pour accepter de voir l'autre. On peut utiliser l'envie d'apparaitre publiquement, en posant des conditions pour pouvoir être à la télévision. On met un barrage de nouveau entre le besoin d'émancipation intellectuelle et sa réalisation. Pour avoir le droit de penser, il faut penser dans certains termes.
Si personne ne s'insurge de l'exploitation du vent et de l'eau, l'exploitation devient discutable quand il s'agit de l'exploitation des humains, ou même des animaux. Mais certains ne font pas la différence entre objet, animaux et humains quand il s'agit d'en tirer profit. Tout cela a un nom, cela s'appelle le business. Vous noterez que le simple fait d'utiliser des ressources minières n'entre pas dans cette définition de l'exploitation, mais c'est la dérivation des profits que cela engendre. Bien entendu, cela mène à une surexploitation des ressources, notamment en développant des produits qu'on doit racheter régulièrement plutôt que des produits qui durent.
Par ailleurs, n'entre pas dans la définition le fait de faire payer par la collectivité les risques pris par l'oligarchie (privatiser les profits, mutualiser les pertes). Pourtant c'est bel et bien un ressort de l'exploitation, mais en négatif. Plutôt que de dériver l'énergie à leur profits, ici ils dérivent l'argent négatif vers le public. N'entre pas non plus les dépenses des dominants pour contrôler l'opinion publique (la publicité subventionne les média). Dans ce cas, les dominants utilisent l'exploitation pour maintenir leur domination. Bien entendu, c'est aussi lié à l'exploitation dans l'autre sens, à savoir que la domination permet l'exploitation.
Note : vous venez d'être débranché de la matrice...
On peut récupérer de l'argent avec les péages. Ce qui transite alors ce sont les voitures. On peut taxer les échanges et alors récupérer une partie de l'argent qui circule entre les gens. On peut récupérer des dividendes en dérivant les bénéfices qui devaient aller aux employés. On récupère de l'argent et donc du pouvoir comme cela, en mettant des "barrages" où passent les marchandises et les services. Pour amener les gens à acheter et donc à se faire taxer au passage, on place un barrage plus subtil entre les désirs et leur réalisation. On suggère avec les publicités que pour séduire, il faut le parfum axe, que pour avoir des enfants heureux, il faut du nutella, que pour être de bonne humeur le matin, il faut du ricoré etc.
Avec la taxe d'habitation et la taxe foncière, on récupère de l'argent et donc de l'énergie du besoin d'avoir un chez soi. En fin de compte on dérive de l'énergie de la pulsion de vie. En effet, l'argent donne le pouvoir et donc de l'énergie. Bien entendu, cela marche tant que les gens portent de la valeur à l'argent en question. Mais les dominants empêche le développement d'argents alternatifs et demandent de toutes façons la taxation de toute activité répétée de don ou de service. Il y a donc une dérivation de l'énergie du développement d'activités industrielles ou artisanales.
Il y a également un barrage entre la création monétaire et son utilisation par l'Etat, qui doit transiter par les banques privées d'abord (art. 104 du traité de Maastricht). Le payement des intérêts constituent une dérivation des impôts vers les financiers. Pour faire des dépenses sociales, l'Etat doit donc enrichir des personnes déjà riches. On canalise l'aspiration à la démocratie avec les partis politiques qui redistribuent après l'argent soit aux membres éminents du parti soit en achetant des choses aux "bonnes" entreprises. Les partis politiques récupèrent de l'argent de l'Etat, ou bien des multinationales avec les commissions. On taxe aussi l'exploitation des ressources dans les pays pauvres en y implantant des entreprises appartenant aux élites des pays riches. On met donc un barrage au niveau de la valorisation de leur territoire. On récupère l'envie d'aider ceux qui souffrent avec les associations caritatives dont une bonne partie des dons va dans les appels aux dons et dans des hôtels de luxe pour les bienfaiteurs dans le tiers-monde. L'aspiration à participer à la vie collective est canalisée par les impôts qui devient une partie de cet argent (dépenses non voulues par les contribuables, remboursement des intérêts de la dette).
On utilise l'envie d'être aimé pour obtenir des choses des autres. On pose des conditions pour accepter de voir l'autre. On peut utiliser l'envie d'apparaitre publiquement, en posant des conditions pour pouvoir être à la télévision. On met un barrage de nouveau entre le besoin d'émancipation intellectuelle et sa réalisation. Pour avoir le droit de penser, il faut penser dans certains termes.
Si personne ne s'insurge de l'exploitation du vent et de l'eau, l'exploitation devient discutable quand il s'agit de l'exploitation des humains, ou même des animaux. Mais certains ne font pas la différence entre objet, animaux et humains quand il s'agit d'en tirer profit. Tout cela a un nom, cela s'appelle le business. Vous noterez que le simple fait d'utiliser des ressources minières n'entre pas dans cette définition de l'exploitation, mais c'est la dérivation des profits que cela engendre. Bien entendu, cela mène à une surexploitation des ressources, notamment en développant des produits qu'on doit racheter régulièrement plutôt que des produits qui durent.
Par ailleurs, n'entre pas dans la définition le fait de faire payer par la collectivité les risques pris par l'oligarchie (privatiser les profits, mutualiser les pertes). Pourtant c'est bel et bien un ressort de l'exploitation, mais en négatif. Plutôt que de dériver l'énergie à leur profits, ici ils dérivent l'argent négatif vers le public. N'entre pas non plus les dépenses des dominants pour contrôler l'opinion publique (la publicité subventionne les média). Dans ce cas, les dominants utilisent l'exploitation pour maintenir leur domination. Bien entendu, c'est aussi lié à l'exploitation dans l'autre sens, à savoir que la domination permet l'exploitation.
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