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le Nouvel Ordre Mondial : Forum
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Discussion

M4kHn0 (05/03-23:07): Coucou Lysson :lu

M4kHn0 (28/02-15:43): Bonjour Séphy :lu

Séphy (23/02-15:10): Bonjour tout le monde

M4kHn0 (27/11-11:30): Salut à toi :lu

kenshin (21/11-18:32): Salut tout le monde

M4kHn0 (03/05-1:05): Coucou Nico Moke
:lu

Abbittibbi (18/03-2:12): Je devrais avoir 4 cerveaux, huit paires de main ainsi que BEAUCOUP plus de temps avec tout ce qui arrive.

Abbittibbi (18/03-2:02): Eh, je viens de découvrir que je suis membre ici.

Bonne chance à tous les anciens. Et les nouveaux aussi.

M4kHn0 (26/02-17:49): Merci Doom :)

Doom (26/02-17:48): Bah c'est pas grave, je les remettrai, c'est pas plus long que ça ;)

M4kHn0 (26/02-16:52): Nous avons remis la base de donné du mois de décembre. Tous les messages qui ont été publié après cette date n'ont pas pût être récupéré :(

M4kHn0 (01/12-21:30): Kaka, rara, chichi de Sarkosy :p

M4kHn0 (01/12-0:12): Des pampers pour Wikileaks :lu
xD

M4kHn0 (29/11-23:38): Bonne nuit à touTEs :lu

Olivia (21/11-1:53): J'ai fait un cht'it passage .
les cigales.org est une terre Fertille A+ Olivia ;-)

M4kHn0 (17/11-18:13): Coucou :lu

M4kHn0 (16/11-19:38): Salut Doom :)

Doom (14/11-21:25): Salut M4k, t'en fait pas je suis encore là ;)

M4kHn0 (14/11-18:03): @ Amadeus:
www.unefois.be/portail/archives/371

M4kHn0 (09/11-19:42): Super Amadeux !
On parle de toi en ce moment sur le réseau FaceBook ^^
www.facebook.com/group.php?gid=145053228872648

Amadeus (07/11-18:42): Coucou ! Je suis passé ! @+
:lu

M4kHn0 (05/11-0:17): Si si, faites attention je mange les enfants !!! RRRaaaaAaAAAa :P

M4kHn0 (19/10-20:08): Je dois faire peur je pense, personne ne veut participer...
:D :lu
Vous pouvez venir, je vous assure !

M4kHn0 (13/10-23:18): Vous êtes libre de posté après avoir lu et accepté la charte :)

M4kHn0 (07/10-22:46): Salut à touTEs :lu :D


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   Le 05/12/09 à 20h36 Livres » Livres en pdf et videos

"Quand j'étais enfant, je me demandais comment quelques îles, à peine visibles sur une mappemonde, pouvait être à la tête d'un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais. C'est aujourd'hui que les raisons me semblent évidentes. Ce n'était pas du tout l'empire britannique, c'était l'empire de la Fraternité babylonienne !"

"La Fraternité babylonienne a travesti, à son unique profit, la connaissance et le visage de l'Histoire."

"Le contrôle absolu, déguisé en démocratie, peut continuer longtemps encore parce que vous ne pouvez vous rebeller contre ce que vous ignorez. Vous vous croyez libre ! Vous ne pouvez donc pas vous plaindre de ne pas l'être..."

"La vérité de ce qui se passe est tellement ENORME que la majorité des gens ne voudront pas la croire. C'est ainsi que pour la Fraternité, la situation est parfaite... et conforme au Plan établi."

David Icke
http://www.the-savoisien.com/

Ici le "livre de la loi" http://www.the-savoisien.com/livres/Crowley%20Aleister%20-%20Le%20livre%20de%20la%20loi.pdf
J'ai la aussi un sujet interessant :lu
« Si le virus A H1N1 mute... » ou l’escroquerie à l’échelle planétaire
Source : Winckler’s Webzine - Ailleurs : Mondialisation.ca)

Alors même que les évidences épidémiologiques de bénignité de la grippe A H1N1 s’accumulent (et que les médecins espagnols et britanniques rassurent leurs populations respectives) l’argument numéro 1 invoqué par les tenants de la vaccination de masse est « la possibilité d’une mutation du virus ». Or, cette éventualité n’est pas seulement scientifiquement improbable, elle est aussi le principal argument qui disqualifie la vaccination : contre un virus mutant, un vaccin ne sert à rien. Démontage d’une escroquerie planétaire.

Les relevés épidémiologiques le montrent (y compris dans les rapports de l’OMS, qui est tout de même l’institution qui a tiré la sonnette d’alarme), la pandémie de A H1N1 n’est pas du tout aussi catastrophique qu’on a pu l’annoncer, alors même que le virus semble plus contagieux puisqu’il se transmet même quand il fait chaud. Plus contagieux, mais moins dangereux.

Dans l’hémisphère sud, où la santé de la population est proportionnellement plus précaire que dans l’hémisphère nord, la mortalité est inférieure à celle d’une grippe saisonnière habituelle. De plus, comme l’OMS ne demande plus de confirmer les cas de grippe « puisqu’il y en a trop », on est en droit de penser que le nombre de personnes atteintes par la grippe est bien plus grand qu’estimé, mais comme le nombre de morts attribué au virus (un mort, ça se comptabilise) est faible, la proportion de décès par rapport au nombre de personnes touchées est donc probablement encore plus faible qu’on ne l’estime actuellement.

On est donc en droit de penser que 1° il n’a pas de raison de provoquer plus de décès dans les pays du Nord, dont la population est en meilleure santé que celle du Sud. 2° comme il est très contagieux et qu’il y a déjà des foyers épidémiques en Europe, d’ici quelques semaines il y aura de plus en plus de personnes déjà immunisées (et toujours vivantes) qui agiront comme des barrières pour protéger les autres. Avant même que le climat hivernal ne s’installe. On peut s’attendre donc à ce que la « grande épidémie » n’ait pas lieu...

Arguments scientifiquement incohérents

Cependant, dans les pays développés comme la France, qui ont commandé des millions de vaccins on continue à répandre des messages terroristes pour inciter les populations à se vacciner.

Les arguments ? « le virus A H1N1 touche des strates de la population que le virus A H3N2 (habituel) ne touche pas : les jeunes adolescents et adultes » ; c’est vrai, apparemment, mais ça ne le rend pas plus grave, d’ailleurs parmi les décès, on trouve surtout des patients immunodéprimés ou très malades qui sont très jeunes ou très âgés, et non des jeunes adultes ; la grippe touche les jeunes adultes, mais elle ne les tue pas comme s’il s’agissait d’une méningite cérébrospinale ; à ma connaissance, les vacanciers touchés dans des colonies de vacances en Isère, cet été, ont guéri en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire...

« le virus AH1N1 touche les femmes enceintes » : c’est vrai, mais l’autre aussi ; et c’est bien connu : les femmes enceintes sont en état de « tolérance immunitaire » vis à vis de leur foetus, ce qui les rend un peu plus sentibles aux virus qu’en temps normal ; rien de nouveau, donc « le tamiflu n’est pas constamment efficace » : c’est vrai, et on le sait depuis longtemps, car AUCUN médicament ne peut être constamment efficace sur quoi que ce soit (tout simplement parce qu’un médicament n’a pas le même métabolisme chez tous les individus, pour des raisons génétiques, et parce que des résistances surviennent pour tous les anti-infectieux, qui « sélectionnent » des germes résistants) ; cela dit, ce n’est pas nouveau, car l’efficacité du Tamiflu est toute théorique : il est censé raccourcir la durée et atténuer la gravité de la grippe s’il est pris dès les premiers symptômes mais 1° il y a tout plein de maladies (du rhume à la bronchite saisonnière bénigne) qui commencent comme une grippe. 2° durée et gravité de la grippe sont variables d’une personne à une autre, il est donc impossible de vérifier que c’est le Tamiflu qui raccourcit les symptômes de la grippe, car toute expérimentation d’un antiviral sur une maladie de courte durée (huit jours) n’a aucune signification. En matière de maladies infectieuses virales, un vieil adage clinique dit : « un rhume mal soigné dure une semaine, un rhume bien soigné dure huit jours »...

Mais l’argument qui remporte le pompon de l’escroquerie est celui qui court avec le plus d’insistance en France quand on oppose à la vaccination de masse les objections qui précèdent. Cet argument proprement magique est celui-ci : « Et si le virus mute... ? »

Eh bien, le virus A H1N1 a déjà muté. C’est d’ailleurs en mutant qu’il est devenu plus contagieux et que l’épidémie a commencé. Mais cette mutation, qui lui a conféré une plus grande contagiosité, ne lui a pas conféré pour autant une plus grande dangerosité. Un virus a un seul but dans la vie : multiplier son ADN le plus vite possible pour survivre génétiquement, comme le font tous les êtres dotés d’un ADN. Or, un virus, c’est un ADN réduit à sa plus simple expression. Son but, ça n’est pas de rendre malade. Les symptômes de la maladie sont liées aux réactions de l’organisme destinées à éradiquer le virus : la fièvre, c’est le corps qui la produit pour empêcher le virus de se reproduire ; les courbatures, c’est la contraction intense des muscles pour produire de la fièvre ; la toux, c’est la réaction inflammatoire du nez, de la trachée et des bronches à l’entrée du virus dans les tissus respiratoires. Le virus, lui, il a intérêt à ce que le patient reste debout et le transmette dans ses gouttelettes de salive.

On comprend donc que pour qu’un virus soit très contagieux (par voie aérienne), il faut AUSSI qu’il soit relativement bénin. S’il est très dangereux, il risque en effet de tuer ses hôtes avant qu’ils ne l’aient transmis. Les virus les plus contagieux de la planète, ceux du rhume de cerveau, ne tuent personne...

« Bon, d’accord, admettons ! Mais quand même ! Et s’il mute de nouveau et devient dangereux cette fois-ci ??? On ne peut pas le savoir à l’avance !!! »

Ah, mais c’est là que l’escroquerie intellectuelle touche à son comble, comme vous allez le voir.

La phrase "Bon, mais s’il mute de nouveau ?" ne résiste pas à l’analyse rationnelle :

1° les mutations sont ce qui permet à un organisme de survivre ou le conduisent à disparaître ; virologiquement, biologiquement et épidémiologiquement parlant, il est peu probable que le virus A H1N1, qui a en quelque sorte « réussi son coup » et pris la place du AH3N2 au hit-parade des grippes grâce à une mutation qui le rend plus contagieux (mais moins dangereux) mute de nouveau pour devenir brusquement plus mortel (et donc moins contagieux) dans un délai très court. Rappelons qu’il n’avait pas muté depuis 1956...

2° par quel miracle muterait-il simplement en passant de l’hémisphère sud à l’hémisphère Nord ???? Pourquoi pas chaque semaine, pendant qu’on y est ?

Brusquement, l’OMS le déclare tout de go : "Le virus n’a pas muté"

Mais surtout, l’argument « Et si le virus mute de nouveau... » vient de montrer tout récemment son inanité (et son caractère de poudre aux yeux), grâce à un communiqué sybillin datant du 4 septembre : « D’après l’OMS, le virus a provoqué 2800 morts dans le monde [1] mais n’a pas muté. » (Vous trouverez ça partout.)

Cette nouvelle sybilline mais cruciale disqualifie complètement les discours terroristes mais montre aussi par la même occasion que leur seul but était de faire commander des vaccins en masse. « Vaccinez-vous, car le vaccin peut muter ! »

Car cet argument ne tient pas et n’a jamais tenu ; en effet pour qu’un vaccin soit efficace, il faut que le virus reste stable... On ne voit donc pas l’industrie se lancer dans la fabrication d’un vaccin contre un virus qui risque de muter d’une seconde à l’autre (ou d’un continent à l’autre)...

Quand je suis arrivé à Montréal et que j’ai pris une assurance pour mon logement, la préposée de la compagnie d’assurance m’a proposé un supplément « tremblement de terre ». Ca m’a fait éclater de rire. J’ai dit « Montréal n’est pas sur une zone sismique » [2]. Elle a dit « C’est vrai, mais on la propose quand même, c’est seulement 20 $ par an. » Je lui ai demandé si elle avait un supplément astéroïde... Elle n’en avait pas. Je n’ai pas pris le supplément tremblement de terre. Mes inquiétudes ont des limites.

Et bien, pour la grippe, on vous a fait le même coup, messieurs-dames les partisans d’une vaccination de masse !!!

On vous a incités à commander des vaccins en nombre incroyables, envers et contre l’évidence de la bénignité de la grippe A H1N1 telle qu’on l’observait, en direct, dans l’hémisphère sud, en vous disant « Ah, mais si le virus mute. » Et maintenant que les vaccins sont fabriqués et vont pouvoir être livrés, on vous envoie un message rassurant, via l’OMS en vous disant que le virus n’a pas muté.

Et c’est très important qu’on vous dise que le virus n’a pas muté. Parce que si on continue à vous effrayer avec le spectre d’une nouvelle mutation, vous risquez de vous rendre compte que le vaccin dont vous avez commandé des millions de doses, (et dont on commence à dire déjà que « une seule dose suffit »...)

si le virus mute,

ce vaccin...

il ne servira à rien !!!

Autrement dit : en agitant la peur d’un virus qui "pourrait" devenir dangereux, on vous a vendu un vaccin qui, si le virus était vraiment devenu dangereux ne vous aurait, de toute manière, pas protégés...

Il ne vous reste plus qu’un vaccin très coûteux, peut-être efficace(mais c’est pas sûr) contre un virus... bénin.

Notez bien que l’OMS a dit "Le virus n’a pas muté". Sous entendu "Pour le moment". Au printemps prochain, il sera toujours le temps de dire qu’il "a muté légèrement et qu’il faut fabriquer un NOUVEAU vaccin". C’est d’ailleurs ce que l’industrie fait depuis 30 ans avec le virus "A H3N2" pour justifier de vendre un nouveau vaccin chaque année (en laissant entendre que l’immunité acquise au contact du virus ne compte pas et que celle que conférait le vaccin de l’année précédente est désormais caduque...)

Ca me fait penser irrésistiblement aux élixirs de jouvence ou à faire pousser les cheveux que les charlatans vendent dans les westerns, avant de quitter la ville nuitamment pour ne pas se faire lyncher au petit matin quand les habitants auront découvert que c’est de l’eau sucrée.

Mais cette fois-ci, le charlatan est le consortium d’entreprises les plus riches au monde, et l’escroquerie est planétaire.

Article publié le 12 septembre 2009.

Lire aussi ce dernier développement en date

Un lecteur médecin m’écrit ceci :

"Je me devais de réagir à votre édito sur la vaccination de masse. J’apprécie votre travail habituellement, que ce soit en médecine ou en littérature, cependant, sur ce sujet-là, force m’est de constater que je ne suis pas du tout en accord avec votre position sur la grippe H1N1 et sa vaccination. Voici pourquoi.

Sur la bénignité de cette grippe, nous savons tous les deux que votre analyse est pertinente. La grippe saisonnière (qui n’est pas toujours une H3N2 au passage) tue bien plus de personnes que celle-ci dont on nous rabat sans cesse les exploits dans les médias. S’employer à rassurer et à former l’esprit critique des patients/citoyens est une bonne chose. Idem en ce qui concerne la pseudo-efficacité du Tamiflu. Par contre, voici ce qui me semble clocher dans votre argumentation : 1. vous affirmez qu’un virus contagieux est obligatoirement un virus bénin. Faux. Ebola ? Taux de contagiosité extrême, taux de mortalité quasi-inégalé. Alors bien sûr l’épidémie est généralement circonscrite car le virus n’a pas le temps de se transmettre à grande échelle dans les endroits reculés où il sévit (les victimes en succombent avant d’avoir parcouru les centaines de kilomètres qui permettraient au virus de contaminer de grands centres urbains). Mais je ne suis pas sûr que cela serait la même chose avec un cas autochtone à New York City par exemple...

Réponse de MW : Bien sûr, vous avez raison. SI le virus A/H1N1 était aussi mortel que le virus Ebola. Mais il ne l’est pas. Avec des si, on pourrait mettre New York en quarantaine. Statistiquement, la probabilité qu’un virus soit à la fois très contagieux et très mortel est faible. Et comme vous le dites très bien, sa mortalité limite l’extension de la contagion (c’est à ça que servent les quarantaines). En l’occurrence, plus le temps passe depuis le début de la pandémie et plus on voit que l’attitude qui consiste à envisager le pire scénario n’est pas la plus appropriée à une démarche de santé publique ; je vous renvoie à l’article du BMJ du 3 septembre dernier : Calibrated response to emerging infections, qui montre à quel point les agences internationales elles-mêmes sont en train de revoir leur vocabulaire. Parce qu’elles ont ouvert la boîte de Pandore et que l’industrie s’y est engouffrée avec l’aide des gouvernants ?

2. la mutation. Ce n’est pas ce que nous craignons. La mutation fait partie intégrante de la vie d’un virus. Le matériel génétique est infiniment plus simple dans ces organismes que dans les organismes eucaryotes. Ils mutent plus facilement et plus vite. Donc vous avez raison ce n’est pas la mutation qu’il faut craindre. Mais bien la "recombinaison". Par sa plasticité génétique, il est bien connu qu’un virus peut échanger du matériel génétique avec un autre virus au sein du même hôte. La proportion de gènes alors transformée change dramatiquement dans ce cas. Et les propriété de chacun des deux virus peuvent en faire émerger un troisième, qui n’aura alors pas les mêmes caractéristiques de bénignité et de contagiosité que ses "géniteurs". C’est ainsi que certains virus peuvent franchir la barrière d’espèce, par exemple... Ainsi donc vous confondez mutation et recombinaison. Ce n’est pas la même chose.

Réponse de MW : Vous avez raison. C’est un raccourci, et il est erroné. Dans les faits, ça revient à la même chose : une modification du virus qui le rende dangereux. Or, le A/H1N1 est déjà recombiné. Il aurait des fragments virals aviaires, porcin et humains. Est-ce qu’il est plus dangereux ? Non. Là encore, ce type de "menace" ne correspond pas à la réalité.

Il est donc clair pour moi que, au-delà de l’aspect de préparation que cette "pandémie" a pour les autorités sanitaires (préparation à la réaction à une émergence virale ou bactérienne de plus grande ampleur qui se produira statistiquement un jour... et en voyant la réaction des autorités on se dit qu’une autre préparation ne serait pas du luxe...), l’intérêt d’une vaccination de masse est de limiter la recombinaison du virus avec le H3N2 ou une autre souche, et d’en empêcher ainsi l’apparition d’une variante plus féroce. La Grippe Espagnole était aussi un variant H1N1, à la fois contagieuse et virulente... preuve donc que ça existe... Germain Huc, généraliste dans le Sud-Ouest"

MW : Bien sûr que ça existe, mais depuis 1918, aucune pandémie n’a été aussi mortelle... tout simplement parce que la population de la planète n’est pas du tout dans le même état sanitaire qu’en 1918. Voyez-vous, malgré les famines et les catastrophes et les maladies endémiques (VIH, Tuberculose, Paludisme, Choléra, etc.) qui font souffrir les pays émergents, si nous sommes aujourd’hui plus de 6 milliards, c’est bien parce que nous sommes plus résistants qu’il y a 100 ans. Rien n’indique que la grippe, une des maladies virales les moins agressives qui soient, y changera quelque chose de sitôt.

Un très bon article de synthèse, historique et pédagogique, a été posté sur le site du Nouvel Observateur. Il est plus nuancé que ma position (et très bien documenté) et s’il ne me convainc pas de la nécessité d’une vaccination généralisée (il ne la propose pas non plus) il devrait aussi alimenter votre réflexion de manière utile et non terroriste. Il prouve en tout cas qu’on peut parler à tous de manière intelligible, raisonnable et constructive.

Il est ICI

Enfin, allez voir l’initiative qu’ont prise les médecins espagnols pour rassurer la population, arguments scientifiques en mains. Et demandez vous pourquoi les médecins français ne font pas de même.

[1] La grippe A H3N2 provoque plusieurs centaines de milliers de morts par an, je le rappelle

[2] (Note du 12 O9 09 : Apparemment, j’ai tort, comme le relèvent ce blog et les liens vers "Séismes Canada", mais ça ne me fait pas changer d’avis pour autant. Je refuse absolument de vivre dans l’angoisse permanente de "ce qui pourrait se passer si..."

Marc Zafran (Martin Winckler) est médecin et écrivain.
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article6941#forum10110
BILD: LE CONTRAT POUR LA PANDEMIE SIGNE EN 2007 !!! du 3 au 6 décembre 2009 : Regardez cet article du magazine allemand Bild qui a montré que le contrat entre le gouvernement allemand et GlaxoSmithKline pour une grande pandémie a été signé en... 2007. Comme quoi, les pandémies se préparent d'avance :-) et ensuite seulement on donne l'alerte. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2009
http://www.jovanovic.com/blog.htm
LE MOT D’ORDRE EST DE VACCINER A TOUS PRIX, QUELQUE SOIT LES RISQUES !
Aujourd’hui se tenait une manifestation d’étudiants infirmiers devant le ministère de la santé pour dénoncer la situation dont ils sont les victimes et l’organisation scandaleuse des centres de vaccinations.

Je me suis rendu à cette manifestation... Et j’ai appris des choses ! Environ un millier d’étudiants et "professeurs" sont venus, une délégation a été reçue par le ministère, mais rien, comme d’habitude dans les médias (si, 5 secondes sur TF1 qui ne disent rien sur le problème de fond).

Donc voilà la situation : depuis le 12 novembre, les centres de vaccination ont ouverts. La vaccination est faite par des étudiants infirmiers de troisième année, au départ volontaires. Puis il a fallut faire plus, et les réquisitions ont commencées.

Des réquisitions illégales : un simple mail, des listes collectives, un coup de téléphone de la DDRAS. Rien d’écrit alors que la loi exige un courrier nominatif, signé par le préfet, afin de clarifier les horaires, les modalités de l’action, etc (on parle de santé quand même !

Des menaces envers les étudiants et leur diplôme : Pendant plusieurs semaines, les infirmiers réquisitionnés se sont rendus aux centres, et aujourd’hui ils ont l’impression de s’être fait avoir. Vous ne venez pas vaccinez ? Alors vous serez recalé pour le diplôme d’État ! Mais surtout, tous doivent cesser leur stage indispensable pour leurs études, ils ne peuvent plus suivre les cours, ou sinon réussir à terminer un mémoire ou préparer des examens après des heures de réquisitions... d’autant plus que les professeurs/encadrants sont aussi réquisitionnés. Et du coup, les premières année et deuxième années se retrouvent... sans professeur ! Du coup la carotte est la suivante : vous venez vaccinez et vous aurez votre diplôme sans problème (il ne vaudra rien). Avec à la clé, la menace d’envoyer les gendarmes à domicile si l’on optempère pas !

Les détails : Normalement, il était prévu deux séances de vacations par semaine, et non vaccinez presque sept jours sur sept, de 8 heures à 22 heures ! D’autant plus que les étudiants ne sont pas rémunérés, ils doivent prendre à leur charge les transports, et ils sont souvent envoyés à des dizaines de kilomètres de là où ils habitent.

La situation dans les centres : De nombreux étudiants sont venus témoignés. Ils dénoncent, et ce n’est pas des cas isolés :

le fait qu’il n’y ait pas de gant pour vacciner ! :ouch :

le manque d’organisation généralisé

le flou autour de la vaccination des jeunes enfants, pas de consignes claires, dose de 0,25 ou 0,50 ça change d’un jour à l’autre

les aiguilles ne sont pas adéquates

un enfant de 8 ans fait un malaise, rien pour y faire face, dans tout un gymnase un seul brancard, une seule fiole d’adrénaline...

les horaires sont épuisants, leur travail non rémunéré, pas de possibilité de se restaurer ou de boire sur place

au moindre accident ils seront les premiers à être accusés, non assuré (pas de papier officiel)

vacciner à tous prix, même les enfants avec des vaccins adjuvantés !

il n’y a aucun contrôle d’identité à l’entrée, vous ou moi pourrions nous présenter comme médecin ou comme infirmier, pas de problème !

les chefs de centre de vaccination sont méprisants vis à vis des infirmières

plusieurs cas de séquestration (si, si !) : les vestiaires avec les affaires des infirmières étaient fermés a clé par les chefs de centre pour qu’elles ne puissent pas partir !

Il y a donc un ras le bol général, puisque aujourd’hui il y a eu confirmation grâce à la délégation envoyée, que les réquisitions devaient se faire en bonne et du forme, et plus à l’encontre de la loi ! Pendant plusieurs semaines, ils se sont fait avoir mais maintenant le mot d’ordre est le suivant : ne plus répondre au coup de fil de la DRASS, ne rien signer, ne plus se rendre au réquisitions qui sont illégales.

Quelques témoignages sur internet :

Citation :

personnellement j’ai reçu une admonestation très forte car j’ai refusé de faire vacciner trois personnes (02 allergiques et un sous métothrexate) et des enfants de moins de 10 ans avec le vaccin avec adjuvant ; Nous sommes tous soumis à des pressions très fortes de la part des chefs de centre et de la DDASS avec menaces au nom de la réquisition et du devoir de réserve. un seul mot d’ordre vaccinez ! Je ne parle pas des bouleversements des emplois du temps prévenu le mardi à 10h30 par deux policiers (qui ne voulaient pas que je marque l’heure de la réception de la réquisition) j’ai du me présenter l’après midi même à 15h00 sous peine de menace et d’amende. Même s’il y a urgences ( ?) il y a des limites... Bien à vous tous

Citation :

On nous a aussi fait sous entendre que si on participait à la vaccination comme des gentils petits moutons et qu’on arrêtait notre rebellion, tout se passerait bien mais que sinon le DE serait menacé. Ils veulent nous supprimer une MSP, la belle carotte pour qu’on vaccine. On doit rester jusqu’à 22h30 sur les lieux de réquisition, même le dimanche maintenant. On nous a annoncé ça aujourd’hui, y’a vraiment un moment où il faut stopper ça !

http://www.infirmiers.com/forum/grippe-h1n1-et-requisition-esi-t95654-195.html

Les médecins risquent 3750 euros s’ils refusent la réquisition !

Citation :

Seul le médecin est tenu de déférer à une réquisition de l’autorité publique sous peine d’une amende de 3 750 euros (art. L 4163-7 du code de la santé publique), mais si une réquisition peut imposer à un professionnel de santé de se rendre dans un centre de vaccination pour y travailler, l’autorité publique ne peut contraindre un médecin à prescrire un produit qu’il estime faire courir un risque grave à un patient. Si ce produit n’est pas prescrit, un infirmier ne peut l’injecter.

http://www.droit-medical.com/perspectives/6-la-forme/648-medecin-infirmier-requisitionne-oblige-vaccinner#ixzz0YiD0ZvcU

Réquisitions, menaces, amendes, séquestrations, mise en danger des patients... Bonnes vaccination à tous.


http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article6962#forum10125
   Le 05/12/09 à 17h50 Témoignages » Diantre qui suis-je?
Neo a eu le courage de m'en parler, une certaine nuit de grande conversation, j'ai écouté: surprise mais sans juger, juste heureuse du résultat à ce jour.
j'aimerais tant qu'il rencontre une fille éveillée avec un coeur ENORME afin qu'il soit pleinement heureux .
Je t'aime tant mon Neo :)
Sur ce même site, d'autres choses formidables : la physique quantique ect. Actuellement, nous subissons cette transformation à l'intérieur de nous pour arriver au paradis sur terre.
http://www.kabbalah.info/fr/kabbale-video-clips/physique-kabbale
Salut à tous :lu
En ce qui concerne l'individu, voici une vidéo que je trouve assez juste, vous avez déjà entendu parlé de kabbale, écoutez
http://www.kabbalah.info/fr/kabbale-video-clips/evolution-desirs
Ce que vous voyez et entendez en ce moment précis n'est qu'un rêve. Vous rêvez à l'instant même, le cerveau éveillé. Rêver est la fonction principale de notre esprit qui fait cela vingt-quatre heures par jour. Il rêve lorsque le cerveau est éveillé et également lorsque ce dernier dort.

La différence c'est que, durant l'état de veille, le cadre de référence matériel nous fait percevoir les choses de façon linéaire. Lorsque nous nous endormons, nous n'avons plus ce cadre de référence, aussi le rêve a- t-il tendance à changer constamment.

Les humains rêvent en permanence. Avant notre naissance, les humains nous précédant ont créé un grand rêve extérieur que l'on appelle le rêve de la société ou le rêve de la planète. Le rêve de la planète est le rêve collectif résultant des milliards de rêves personnels plus petits qui, ensemble, forment le rêve d'une famille, le rêve d'une communauté, le rêve d'une ville, le rêve d'un pays, et finalement le rêve de toute l'humanité. Le rêve de la planète comprend toutes les règles de la société, ses croyances, ses lois, ses religions, ses différentes cultures et modes de vie, ses gouvernements, ses écoles, ses événements sociaux, et ses jours fériés.

Nous naissons avec la capacité d'apprendre comment rêver, et les humains qui nous précèdent nous apprennent à le faire de la façon dont rêve la société. Le rêve de la planète a tellement de règles que lorsqu'un nouvel être humain naît, on capte son attention et on introduit ces règles dans son esprit. Le rêve de la planète se sert de papa et maman, des écoles et de la religion pour nous enseigner comment rêver.

L'attention est la capacité à être sélectif et à se concentrer exclusivement sur ce que l'on veut percevoir. Nous sommes capables de percevoir des millions de choses simultanément, mais en utilisant notre attention, nous pouvons maintenir ce que nous voulons au premier plan de notre conscience. Les adultes qui nous entouraient, lorsque nous étions enfant, ont donc capté notre attention et introduit des informations dans nos esprits par la répétition.

C'est ainsi que nous avons appris tout ce que nous savons.

En nous servant de notre attention, nous avons assimilé toute une réalité, tout un rêve. Nous avons appris comment nous comporter en société : que croire et ne pas croire ; ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas ; ce qui est bon et ce qui est mauvais ; ce qui est beau et ce qui est laid ; ce qui est juste et ce qui est faux. Tout était déjà là : toute cette connaissance, toutes ces règles, tous ces concepts concernant la façon de se comporter dans le monde existaient avant notre naissance.

Lorsque vous alliez à l'école, vous étiez assis sur une petite chaise et votre attention se portait sur ce que le professeur vous enseignait. Lorsque vous alliez à l'église, votre attention se concentrait sur ce que le prêtre ou le pasteur vous disait. La même chose se produisait avec papa et maman, vos frères et vos sœurs. Tous s'efforçaient de capter votre attention.

Nous avons également appris à capter l'attention des autres, et développé un besoin d'attention qui est devenu très compétitif. Les enfants se disputent toujours l'attention de leurs parents, de leurs professeurs, de leurs amis : " Regardez-moi ! Regardez ce que je suis en train de faire ! Hé oh, je suis là. " Le besoin d'attention devient ainsi de plus en plus fort et se perpétue à l'âge adulte.

Le rêve de la planète capte notre attention et nous enseigne ce que l'on doit croire, à commencer par la langue que nous parlons. Le langage est le code de compréhension et de communication entre êtres humains. Chaque lettre, chaque mot de chaque langue représente un point sur lequel on s'est mis d'accord. On dit que ceci est une page dans un livre ; le mot page est un terme sur lequel on s'est mis d'accord. Une fois que l'on comprend le code, l'attention est captée et il y a transfert d'énergie d'une personne à l'autre.

Vous n'avez pas choisi de parler français. Vous n'avez pas choisi votre religion ni vos valeurs morales : elles étaient déjà là avant que vous ne soyez né. Nous n'avons jamais eu l'occasion de choisir ce que nous croyons ou non. Nous n'avons pas choisi la plus infime des choses à laquelle nous avons donné notre accord. Nous n'avons même pas choisi notre nom.

Enfants, nous n'avons pas eu la possibilité de choisir nos croyances, mais nous avons donné notre accord à l'information qui nous était transmise sur le rêve de la planète. La seule façon de conserver de l'information, c'est d'être d'accord avec elle. Le rêve de la planète peut capter notre attention, mais si nous ne sommes pas d'accord, nous ne retenons pas cette information.

Du moment que nous sommes d'accord, nous croyons : c'est ce que l'on appelle la foi.

Avoir la foi signifie croire sans conditions.

Voilà comment on apprend quand on est enfant. Nous croyons tout ce que les adultes nous disent.

Nous sommes d'accord avec eux, et notre foi est si forte que le système de croyance contrôle tout le rêve de notre vie. Nous n'avons pas choisi ces croyances, et nous pouvons même nous rebeller contre elles, mais nous ne sommes pas assez fort pour réussir cette rébellion. Il en résulte une soumission aux croyances, avec notre accord.

J'appelle cela le processus de domestication des humains. Grâce à cette domestication on apprend comment vivre et comment rêver. Au cours de notre domestication, l'information du rêve de la planète est transmise à notre rêve interne et construit tout notre système de croyances. Enfant, on nous apprend d'abord le nom des choses : maman, papa, lait,

bouteille. Jour après jour, à la maison, à l'école, à l'église et par la télévision, on nous dit comment vivre, quels sont les comportements acceptables. Le rêve de la planète nous enseigne comment être des humains.

Nous avons un concept de ce qu'est la " femme " et un de ce qu'est l " homme ".

Et nous apprenons aussi à juger : nous nous jugeons nous-mêmes, nous jugeons les autres, les voisins. Les enfants sont domestiqués comme les chiens, les chats, ou tout autre animal. Pour instruire un chien, on le punit et on le récompense. De manière analogue, nous formons nos enfants, que nous aimons tant, exactement comme on dresserait un animal domestique : par un système de punitions et de récompenses.

Enfant, on nous disait : " Tu es un gentil garçon " ou " Tu es une gentille fille " lorsque nous faisions ce que papa et maman voulaient. Lorsque ce n'était pas le cas, on nous qualifiait de " méchant garçon " ou de " méchante fille ".

Chaque fois que nous enfreignions les règles nous étions punis ; lorsque nous les respections, on nous récompensait. On nous punissait plusieurs fois par jour, et nous recevions également plusieurs récompenses quotidiennes. Bientôt nous avons commencé à avoir peur d'être puni ou de ne pas recevoir de récompense, celle-ci consistant à obtenir l'attention de nos parents ou d'autres personnes telles que nos frères et sœurs, professeurs et amis. Nous avons donc eu besoin de capter l'attention des autres pour obtenir cette récompense. Comme elle nous faisait du bien, nous aussi avons continué de faire ce que les autres attendaient de nous pour l'obtenir. Ayant peur d'être puni et peur de ne pas être récompensé, nous nous sommes mis à prétendre être qui nous n'étions pas, juste pour faire plaisir aux autres, juste pour paraître assez bien à leurs yeux. Nous nous efforcions de faire plaisir à papa et maman, nous voulions plaire aux maîtres d'école, plaire à l'église, alors nous avons commencé à jouer des rôles.

Nous prétendions être autre que nous n'étions, par peur d'être rejetés.
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Publié le 06.01.2008
Et si l'aventure humaine devait échouer ? :lu

Est repris ici l'un des titres de notre excellent philosophe et humaniste Théodore Monod, Professeur et Membre de l'Académie des Sciences, dernier grand naturaliste de notre temps (il était né en 1902).
Mais pourquoi s'en inspirer ?
La solution de problèmes qui intéressent tout l'avenir de l'Humanité et sans doute même son existence, est bien loin de n'être que technique, d'autant plus que les progrès matériels sont trop souvent l'objet d'applications diaboliques, destinées, par exemple, à tuer mieux, de plus loin et en plus grande quantité, objectifs qui, eux, se voient beaucoup plus substantiellement financés que la lutte contre la maladie, la misère ou la faim.
On en revient toujours au problème central, celui d'une option morale à effectuer et par conséquent d'une philosophie à adopter, d'un choix portant sur la fin de la destinée humaine. Que voulons-nous, que devons-nous vouloir ? Posséder de plus en plus (et "être possédés" !), augmenter notre puissance (matérielle !) et multiplier nos "gadgets" ou viser à un accroissement de l'être, à l'hominisation véritable seule en mesure de nous arracher aux barbaries ancestrales et de rendre enfin possible notre réconciliation avec la Nature ? Continuer à "sacrifier le bonheur" au profit et à la puissance, à rester un "homme vide aux mains pleines" ou bien, tandis qu'il en est temps encore, peut-être, bifurquer hardiment, courageusement, sans arrière-pensée, dans l'autre direction, celle qui fait passer l'homme avant le profit, la croissance spirituelle avant celle du PNB, le bonheur vrai avant la religion de la production ?
Notre liberté de jugement est bien nécessaire à une heure où l'on voit tant de puissants et notoires pollueurs se convertir, au moins en paroles, à la protection de la Nature et même, à l'occasion, la subventionner.
Il a été dit : "La barbarie, c'est de s'éloigner de la nature". Il faudra donc y revenir et d'autant plus qu'il s'agit d'une double exigence, puisqu'il importe à la fois, par une acceptation réfléchie de l'unité des choses et des êtres, de guérir les maux d'aujourd'hui et de prévenir ceux de demain.
Les réflexions philosophiques (en 2000, à l'aube du troisième millénaire) de ce génie aujourd'hui disparu est un héritage E X T R Ê M E M E N T troublant puisque aussi bien, il y a fort longtemps (en 1945), un certain Marc AUMISIER (l'a-t-on connu?), dans son merveilleux (et magistral) exposé sur "Ce que la Vie m'a appris" disait déjà : "Seuls, la passion du bien et le culte du devoir nous rendent dignes du bonheur. La perfection morale est le suprême bien".
Son enthousiasme pour l'abolition du privilège de l'instruction en faveur des riches ne faiblissait point, mais après une expérience d'un demi-siècle, force lui était de reconnaître des résultats décevants dans le primaire. Pour le secondaire et le supérieur, le nombre d'élèves s'avère en raison inverse de la qualité, l'université produisant des demi ignorants souvent plus dénués de bon sens que les ignorants complets.
"J'aime les paysans, disait Montesquieu, ils ne sont pas assez savants pour raisonner de travers". Que dirait-il aujourd'hui s'il revenait parmi nous ?
Mais c'est le moindre mal. Ce qui est infiniment plus grave, c'est que l'enseignement donné dans nos Universités (comme dans tous les pays) est vicié dans son essence même par l'ignorance absolue dans laquelle il demeure à l'égard des causes premières et des lois qui gouvernent le monde visible et invisible.
La cause génératrice et la nature de la vie, du mouvement fluidique, des phénomènes électromagnétiques, de la pesanteur, de la lumière, de la chaleur, de la gravitation, de même que les conditions dans lesquelles les corps organiques prennent naissance, lui sont totalement inconnues. Tout ce qui est en dehors du domaine physique lui échappe entièrement, mieux, il ne soupçonne même pas son existence. C'est ainsi qu'il ne sait rien de notre être immatériel : le secret de la VIE comme celui de la MORT lui est caché.
Notre individualité spirituelle, ce que nous appelons l'âme, subsiste-t-elle dans son intégralité après la tombe, ou les principes mystérieux qui la constituent sont-ils dispersés comme ceux de notre corps et que deviennent-ils ?
Tout ce qu'affirment ou enseignent à cet égard philosophies et religions, ne repose sur aucune preuve. Ce ne sont qu'hypothèses invérifiables, conjectures sans fondement et pures rêveries de l'imagination. Et cependant, rien ne nous importerait autant que d'être fixés sur ces points essentiels. Aussi, dans son impuissance à nous éclairer sur de tels sujets, l'enseignement officiel s'abstient-il rigoureusement de toute incursion dans le domaine de la spiritualité. Sans doute, nous ne pouvons que l'approuver, car elle évite ainsi de soulever en la matière des controverses dont le seul résultat serait de ressusciter les querelles et les divisions qui, si longtemps, ont déchiré l'humanité. Cependant, cette incapacité de concevoir la nature de l'âme, comme celle de l'auteur de toutes choses et à établir la preuve de leur existence, ne prouve nullement la fausseté ou l'erreur de ces conceptions. La négation n'est simplement qu'un aveu de la faiblesse de nos facultés et de l'insuffisance de nos connaissances.
Par suite, sans ces notions, notre conduite morale est privée de toute base et la vie n'a plus d'idéal ou, du moins, son seul idéal, comme l'ont enseigné certaines doctrines philosophiques, se réduit à la poursuite des plaisirs et des satisfactions d'ordre matériel. Mais l'enseignement ainsi compris ne peut aboutir qu'à la stérilisation des intelligences, des coeurs et des consciences.
Comment dès lors, s'étonner de l'avilissement dans lequel l'humanité glisse insensiblement ?! Dépourvue de toute aspiration élevée, indifférente sinon hostile à la distinction entre le bien et le mal, uniquement adonnée à la conquête des richesses et à la recherche des jouissances physiques, elle tend à s'abaisser peu à peu au niveau de l'animalité. Aussi, le règne de l'immoralité, du cynisme et de la violence menace-t-il de se substituer, dans le monde, à celui de la vertu, de la justice et de la concordeET LA CIVILISATION EST SUR LE POINT DE SOMBRER DANS LA PLUS ÉPOUVANTABLE BARBARIE.
À quelle cause profonde faut-il attribuer une pareille déchéance ? À un événement d'une portée incalculable, encore que l'histoire n'en fasse aucune mention : la disparition de la Science antique survenue il y a plusieurs millénaires. En plongeant l'humanité dans les ténèbres, cette catastrophe a rendu possible le triomphe de l'imposture dans tous les domaines, celui de la science comme ceux de la religion et de la politique. L'imposture est devenue maîtresse souveraine du monde. Notamment, tout ce que l'on enseigne n'est qu'apparence, erreur ou contre-vérité. Mais il est permis d'espérer que ce règne du mensonge et de l'illusion prendra fin, ce qui répondra à l'attente d'intellectuels d'élite qui en tous pays ont conscience du néant de la science moderne et pressentent que la lumière jaillira de la nuit qui nous environne. Mais cet événement soulèvera une opposition désespérée car les ténèbres sont à l'oeuvre depuis très longtemps et ne peuvent spontanément lâcher prise.
C'est là qu'intervient la Science des Anciens. Des technologies avancées furent développées il y a plus de 12000 ans que des bouleversements géologiques affectant le monde entier (particulièrement l'Europe et l'Amérique) ont détruit et l'homme ainsi que la nature en partageraient la responsabilité.
De plus, notre histoire est une suite ininterrompue de guerres et d'invasions. La guerre, à bien des égards, serait le moteur de la technologie. L'homme massacre l'homme, provoquant le regard apitoyé et attristé des dieux. Platon et les prêtres égyptiens nous ont conservé le récit d'une civilisation qui fit la guerre au reste du monde et amena le désastre. Les guerres d'aujourd'hui s'enracinent dans l'histoire ; création du christianisme, création de l'empire islamique, création de l'Etat d'Israël, conflits des adversaires d'autrefois pour le contrôle des terres et des sources d'énergie. La guerre russo-tchétchène fournit un autre exemple où les oppositions religieuses se combinent avec le désir d'accaparer les richesses pétrolières de la Caspienne.
Aujourd'hui la technologie vient à nouveau de franchir un point de non-retour.
Sommes-nous prêts à nous hisser au niveau supérieur ? À accéder au niveau de la technologie des dieux, celle qui aidera l'homme à vivre en harmonie avec la nature et avec son semblable ?
Que faut-il penser de tout cela ? Faut-il se détourner et se replier sur son ego... comme l'autruche qui enfouit sa tête pour ne plus voir ?
http://www.espritdalliance.org/article-29.html?PHPSESSID=31a2867026224b6deae77122cd70e0df
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