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worldpeace,
Je comprend très bien ton point de vue. Mais tu ramène la conscience au cerveau, le passé et le future à la mémoire. Les concepts que j'aborde sont au niveau spirituels, pas matériel. J'avance des hypothèses de réalité, d'existences, sur un autre plan. pas au plan terrestre ou physiologique..
Citation:
J'espère que tu a noté que j'ai parlé de NOTRE vérité et pas LA vérité ... Je ne suis pas prétentieux au point de croire que j'ai raison et tout le monde à tord. Mais j'ai compris en ouvrant les yeux que le fait qu'une idée soit cru par un grand nombre (comme ce qu'on nous enseigne dans les écoles
) n'en fait pas une vérité pour autant... Et ce qui est déduit d'une réflexion honnête, même si on est seul a le pensé, peut être une vérité satisfaisante pour soi même faute de mieux, faute de certitudes.
Les certitudes sont biens rares pour moi maintenant. Comme l'école m'a menti sur plein de chose, je suis devenus suspicieux sur toutes les idées reçues ...

Citation:
Ou bien seul dans une conception erroné ou bien à plusieurs dans l'objectivité (je ne fais que complémenter ta liste
J'espère que tu a noté que j'ai parlé de NOTRE vérité et pas LA vérité ... Je ne suis pas prétentieux au point de croire que j'ai raison et tout le monde à tord. Mais j'ai compris en ouvrant les yeux que le fait qu'une idée soit cru par un grand nombre (comme ce qu'on nous enseigne dans les écoles

Les certitudes sont biens rares pour moi maintenant. Comme l'école m'a menti sur plein de chose, je suis devenus suspicieux sur toutes les idées reçues ...

J'aimerais te suggérer une destination pour ton prochain voyage.
Essais, si tu veux, de centrer ton attention sur la vue d'ensemble, questionne la source sur la ''structure de l'univers'' je serais vraiment curieux de savoir si ton expérience se rapprochera de la mienne. Je n'ai malheureusement pas réussi encore à refaire un tel voyage, l'abandons doit être total et c'est difficile d'y arriver mais je persisterai sois en certain


Hummm je pense que ton correcteur est venu avec ton nouveau navigateur j'ai pas ça moi
Je vais peut-être finalement me convertir à firefox
Pour faire circuler l'idée ça prendrait un document pps ou un petit vidéo qui expliquerait pourquoi et ce qu'on y gagnerait. Mais il faut être réaliste, l'inertie de notre époque est lourde à faire bouger. Avant que la masse tende vers un pareil idéal elle doit être prête à abandonner bien des choses inutiles qu'elle considère vitales.
Mais l'idée est tellement belle et humaine qu'elle doit être ''vendable''. Il faudrait faire comme la pub et s'adresser à l'émotif plutôt qu'au mental.
et viser la jeunesse qui, avec son énergie et sa grande facilité à communiquer via le net, pourrait, si elle est convaincu, mettre l'épaule à la roue.
Penses-y Mapi ! plus de voiture et des jardins sur les trotoirs, réaprendre à communiquer avec nos voisins, ce serait merveilleux
Une utopie cesse d'être une utopie quand suffisament de gens pense que c'est possible


Pour faire circuler l'idée ça prendrait un document pps ou un petit vidéo qui expliquerait pourquoi et ce qu'on y gagnerait. Mais il faut être réaliste, l'inertie de notre époque est lourde à faire bouger. Avant que la masse tende vers un pareil idéal elle doit être prête à abandonner bien des choses inutiles qu'elle considère vitales.
Mais l'idée est tellement belle et humaine qu'elle doit être ''vendable''. Il faudrait faire comme la pub et s'adresser à l'émotif plutôt qu'au mental.


Penses-y Mapi ! plus de voiture et des jardins sur les trotoirs, réaprendre à communiquer avec nos voisins, ce serait merveilleux

Une utopie cesse d'être une utopie quand suffisament de gens pense que c'est possible

Pourquoi l'Anarchie fait peur...
Il nous faut comprendre que ce mot représente dans l'imaginaire collectif l'absence de protection face aux menaces extérieures à notre personne. Les assassins, les violeurs, les voleurs ont, malgré le petit pourcentage de la population qu'ils représentent, une sur-représentation dans les médias. La grande majorité de l'humanité ont les actes de ces tristes sirs en horreur. Nous croyons que les lois et la police nous protègent d'eux. Mais si on y réfléchis bien les lois les protègent eux.
Je m'explique par un exemple, Le père de famille qui apprend que sa fille à été violé, humilié, battue ressent une rage, un désespoir, une révolte difficile à concevoir. Son premier réflexe sera de vouloir battre ou martyrisé ou même tué cet être ignoble qui a sérieusement hypothéqué l'équilibre de sa fille. C'est naturel, normal, la décision de passé ou non à l'acte lui revient de droit. Si il pose le geste, le coupable ne récidivera probablement jamais. Par son geste de violence il sauvera peut-être des dizaines de victimes potentielles. Son âme, son ''karma'' sera sali par cet acte de violence mais sa conscience sera en paix. Il sera responsable de son geste et en assumera les conséquences. Dans notre système actuel, ce père de famille encourrais un risque de peine de prison probablement plus grand que celui du violeur. Notre système remettra le violeur en liberté un jour et il sera libre de récidiver.
L'Anarchie est la responsabilité. Dans un monde sans loi, seul mes actes sont garants de mon bonheur ou de mon malheur, de ma sécurité ou de ma précarité. Aucune loi ni police ne m'empêche de violer la fille du voisin. La décision de passé à l'acte ou pas me reviens de droit. Par contre je sais que mon voisin ne sera pas embêter non plus si, par vengeance de mon affront à sa fille, il me tue.
Je vous entend d'ici vous dire que vous n'êtes pas intéressé à vivre dans un monde qui permet le meurtre. Encore moins vivre dans une surenchère de la violence et de la vengeance. Je sais. J'ai délibérément choisi l'exemple le plus extrême pour illustrer mon propos. Si je peux vous convaincre avec le pire scénario possible le reste vous paraitra comme allant de soi.
Ce que j'ai voulu exprimer avec cet exemple c'est que craindre pour sa sécurité est la base du respect. Si je sais que l'homme que je croise a le pouvoir de me tuer impunément, je ferai tout mon possible pour ne pas lui donner de raison de le faire. Et vice et versa. Tout simple …
Oui mais les psychopathes ? Dans un monde sans lois les psychopathes ne vivraient pas vieux. Oui mais les voleurs ? Premièrement définissons le voleur. Est-ce celui qui vole un pain parce qu'il a faim ou celui qui accumule des richesses au dépend de ceux qui ont faim ? Le vol est toujours motivé par la convoitise. La convoitise est toujours motivé par un partage inégal des richesses. Dans ce cas je n'appellerais pas ça du vol, j'appellerais ça l'équilibrage des ressources. Il y a bien sur la convoitise maladive mais les êtres atteints par ce problème réfléchiraient à deux fois avant de se laissé aller à leur faiblesse sachant qu'ils risquent gros si il sont pris …
Bon, je parle des pire travers humains parce qu'ils sont à la base de notre peur de l'anarchie. Mais ces travers humains reprendraient leur juste proportion dans un monde anarchique. La grandeur de l'âme humaine pouvant enfin prendre la place qui lui revient, l'espace disponible pour nos faiblesses en serait d'autant réduite.
Dans un monde anarchique, on construit son avenir par ses actes. Si toute ma vie j'apporte à la communauté plus que j'en retire. Un grand nombre d'individus appartenant à cette communauté se sentiront redevable de mes largesses. Si pendant que je suis jeune et productif j'apporte plus que je ne prend, si j'ai toujours un bon mot pour chacun, bref, si je répand le bonheur, il y a fort à parier que quand je serai vieux et moins productif mes besoin soit comblés par des gens qui se sentent redevables envers moi. Le profit personnel considéré comme de l'égoïsme, ces actes d'entre aide sont désintéressés. Et comme aucune comptabilité de ces acte n'est possible ni souhaitable ni voulu. Donner le plus possible au plus grand nombre possible est l'assurance d'un feedback suffisant pour pourvoir à mon bonheur si je devenais pour n'importe quelle raison improductif.
Tel est l'ordre naturel de la vie en communauté humaine. Les meurtres, les viols, les vols deviendrait pratiquement inexistant. Quand toute ta vie durant tu vois tout le monde donner, prendre autrement que par nécessité t'apparais comme une faiblesse.
La possibilité de l'humiliation d'être considéré comme égoïste par ses paires, la possibilité de perdre l'estime des autres et par le fait même leur support en cas de coup dur serait suffisante pour décourager bien des égos d'atteindre une taille qui indisposerait le groupe.
Un individu peu enclin, fermé, au bonheur des autres se sentirait bien seul dans un tel environnement. Les autres ressentant son malheur, se seraient responsables de lui expliquer le sens de la vie en communauté. Si l'individu en question reste borné dans son rôle de victime, se demandant pourquoi les autres sont si gentils entre-eux et si tiède avec lui, ne voyant pas sa propre responsabilité à sa situation serait toujours libre de quitté le groupe et tenté sa chance seul …
Le fait est que l'homme est un animal social. La reconnaissance des autres est importante pour la majorité d'entre nous. D'ailleurs, l'importance dans notre monde de la réussite sociale est directement lié à ce sentiment de reconnaissance tant désiré.
La société que nous nous sommes construit a perdu de vue la raison de ce sentiment. La réussite économique étant valorisé plus que la compassion et le don de soi, nous recherchons la reconnaissance dans l'accumulation de richesses plutôt que dans la distribution de richesses. Une telle perversion de notre façon d'acquérir cette reconnaissance est la base de la plupart des problèmes connus dans nos société moderne et conduit inévitablement vers la sublimation de nos travers les plus hideux. Produisant à la chaine les actes qui sont les raisons de notre peur de l'anarchie.
En résumé, nous avons peur de l'anarchie parce qu'il y a des hommes mauvais et il y a des hommes mauvais parce que nous ne sommes pas dans un monde anarchique.
Ah! cette foutu peur, qu'est-ce quelle peut nous rendre confus !
Il nous faut comprendre que ce mot représente dans l'imaginaire collectif l'absence de protection face aux menaces extérieures à notre personne. Les assassins, les violeurs, les voleurs ont, malgré le petit pourcentage de la population qu'ils représentent, une sur-représentation dans les médias. La grande majorité de l'humanité ont les actes de ces tristes sirs en horreur. Nous croyons que les lois et la police nous protègent d'eux. Mais si on y réfléchis bien les lois les protègent eux.
Je m'explique par un exemple, Le père de famille qui apprend que sa fille à été violé, humilié, battue ressent une rage, un désespoir, une révolte difficile à concevoir. Son premier réflexe sera de vouloir battre ou martyrisé ou même tué cet être ignoble qui a sérieusement hypothéqué l'équilibre de sa fille. C'est naturel, normal, la décision de passé ou non à l'acte lui revient de droit. Si il pose le geste, le coupable ne récidivera probablement jamais. Par son geste de violence il sauvera peut-être des dizaines de victimes potentielles. Son âme, son ''karma'' sera sali par cet acte de violence mais sa conscience sera en paix. Il sera responsable de son geste et en assumera les conséquences. Dans notre système actuel, ce père de famille encourrais un risque de peine de prison probablement plus grand que celui du violeur. Notre système remettra le violeur en liberté un jour et il sera libre de récidiver.
L'Anarchie est la responsabilité. Dans un monde sans loi, seul mes actes sont garants de mon bonheur ou de mon malheur, de ma sécurité ou de ma précarité. Aucune loi ni police ne m'empêche de violer la fille du voisin. La décision de passé à l'acte ou pas me reviens de droit. Par contre je sais que mon voisin ne sera pas embêter non plus si, par vengeance de mon affront à sa fille, il me tue.
Je vous entend d'ici vous dire que vous n'êtes pas intéressé à vivre dans un monde qui permet le meurtre. Encore moins vivre dans une surenchère de la violence et de la vengeance. Je sais. J'ai délibérément choisi l'exemple le plus extrême pour illustrer mon propos. Si je peux vous convaincre avec le pire scénario possible le reste vous paraitra comme allant de soi.
Ce que j'ai voulu exprimer avec cet exemple c'est que craindre pour sa sécurité est la base du respect. Si je sais que l'homme que je croise a le pouvoir de me tuer impunément, je ferai tout mon possible pour ne pas lui donner de raison de le faire. Et vice et versa. Tout simple …
Oui mais les psychopathes ? Dans un monde sans lois les psychopathes ne vivraient pas vieux. Oui mais les voleurs ? Premièrement définissons le voleur. Est-ce celui qui vole un pain parce qu'il a faim ou celui qui accumule des richesses au dépend de ceux qui ont faim ? Le vol est toujours motivé par la convoitise. La convoitise est toujours motivé par un partage inégal des richesses. Dans ce cas je n'appellerais pas ça du vol, j'appellerais ça l'équilibrage des ressources. Il y a bien sur la convoitise maladive mais les êtres atteints par ce problème réfléchiraient à deux fois avant de se laissé aller à leur faiblesse sachant qu'ils risquent gros si il sont pris …
Bon, je parle des pire travers humains parce qu'ils sont à la base de notre peur de l'anarchie. Mais ces travers humains reprendraient leur juste proportion dans un monde anarchique. La grandeur de l'âme humaine pouvant enfin prendre la place qui lui revient, l'espace disponible pour nos faiblesses en serait d'autant réduite.
Dans un monde anarchique, on construit son avenir par ses actes. Si toute ma vie j'apporte à la communauté plus que j'en retire. Un grand nombre d'individus appartenant à cette communauté se sentiront redevable de mes largesses. Si pendant que je suis jeune et productif j'apporte plus que je ne prend, si j'ai toujours un bon mot pour chacun, bref, si je répand le bonheur, il y a fort à parier que quand je serai vieux et moins productif mes besoin soit comblés par des gens qui se sentent redevables envers moi. Le profit personnel considéré comme de l'égoïsme, ces actes d'entre aide sont désintéressés. Et comme aucune comptabilité de ces acte n'est possible ni souhaitable ni voulu. Donner le plus possible au plus grand nombre possible est l'assurance d'un feedback suffisant pour pourvoir à mon bonheur si je devenais pour n'importe quelle raison improductif.
Tel est l'ordre naturel de la vie en communauté humaine. Les meurtres, les viols, les vols deviendrait pratiquement inexistant. Quand toute ta vie durant tu vois tout le monde donner, prendre autrement que par nécessité t'apparais comme une faiblesse.
La possibilité de l'humiliation d'être considéré comme égoïste par ses paires, la possibilité de perdre l'estime des autres et par le fait même leur support en cas de coup dur serait suffisante pour décourager bien des égos d'atteindre une taille qui indisposerait le groupe.
Un individu peu enclin, fermé, au bonheur des autres se sentirait bien seul dans un tel environnement. Les autres ressentant son malheur, se seraient responsables de lui expliquer le sens de la vie en communauté. Si l'individu en question reste borné dans son rôle de victime, se demandant pourquoi les autres sont si gentils entre-eux et si tiède avec lui, ne voyant pas sa propre responsabilité à sa situation serait toujours libre de quitté le groupe et tenté sa chance seul …
Le fait est que l'homme est un animal social. La reconnaissance des autres est importante pour la majorité d'entre nous. D'ailleurs, l'importance dans notre monde de la réussite sociale est directement lié à ce sentiment de reconnaissance tant désiré.
La société que nous nous sommes construit a perdu de vue la raison de ce sentiment. La réussite économique étant valorisé plus que la compassion et le don de soi, nous recherchons la reconnaissance dans l'accumulation de richesses plutôt que dans la distribution de richesses. Une telle perversion de notre façon d'acquérir cette reconnaissance est la base de la plupart des problèmes connus dans nos société moderne et conduit inévitablement vers la sublimation de nos travers les plus hideux. Produisant à la chaine les actes qui sont les raisons de notre peur de l'anarchie.
En résumé, nous avons peur de l'anarchie parce qu'il y a des hommes mauvais et il y a des hommes mauvais parce que nous ne sommes pas dans un monde anarchique.
Ah! cette foutu peur, qu'est-ce quelle peut nous rendre confus !



Quand on remet en question des principes si profondément ancrés en nous, tout prend une allure différente. On en revient à la question '' Est-on mieux a plusieurs dans une conception erroné ou seul dans notre vérité ?''




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