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le Nouvel Ordre Mondial : Sujet - Après un millier d'arrestations, la Police grecque ramène le calme à Athènes
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M4kHn0 (05/03-23:07): Coucou Lysson :lu

M4kHn0 (28/02-15:43): Bonjour Séphy :lu

Séphy (23/02-15:10): Bonjour tout le monde

M4kHn0 (27/11-11:30): Salut à toi :lu

kenshin (21/11-18:32): Salut tout le monde

M4kHn0 (03/05-1:05): Coucou Nico Moke
:lu

Abbittibbi (18/03-2:12): Je devrais avoir 4 cerveaux, huit paires de main ainsi que BEAUCOUP plus de temps avec tout ce qui arrive.

Abbittibbi (18/03-2:02): Eh, je viens de découvrir que je suis membre ici.

Bonne chance à tous les anciens. Et les nouveaux aussi.

M4kHn0 (26/02-17:49): Merci Doom :)

Doom (26/02-17:48): Bah c'est pas grave, je les remettrai, c'est pas plus long que ça ;)

M4kHn0 (26/02-16:52): Nous avons remis la base de donné du mois de décembre. Tous les messages qui ont été publié après cette date n'ont pas pût être récupéré :(

M4kHn0 (01/12-21:30): Kaka, rara, chichi de Sarkosy :p

M4kHn0 (01/12-0:12): Des pampers pour Wikileaks :lu
xD

M4kHn0 (29/11-23:38): Bonne nuit à touTEs :lu

Olivia (21/11-1:53): J'ai fait un cht'it passage .
les cigales.org est une terre Fertille A+ Olivia ;-)

M4kHn0 (17/11-18:13): Coucou :lu

M4kHn0 (16/11-19:38): Salut Doom :)

Doom (14/11-21:25): Salut M4k, t'en fait pas je suis encore là ;)

M4kHn0 (14/11-18:03): @ Amadeus:
www.unefois.be/portail/archives/371

M4kHn0 (09/11-19:42): Super Amadeux !
On parle de toi en ce moment sur le réseau FaceBook ^^
www.facebook.com/group.php?gid=145053228872648

Amadeus (07/11-18:42): Coucou ! Je suis passé ! @+
:lu

M4kHn0 (05/11-0:17): Si si, faites attention je mange les enfants !!! RRRaaaaAaAAAa :P

M4kHn0 (19/10-20:08): Je dois faire peur je pense, personne ne veut participer...
:D :lu
Vous pouvez venir, je vous assure !

M4kHn0 (13/10-23:18): Vous êtes libre de posté après avoir lu et accepté la charte :)

M4kHn0 (07/10-22:46): Salut à touTEs :lu :D


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   Le 10/12/09 à 20h01 Citer      

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Après un millier d'arrestations, la Police grecque ramène le calme à AthènesDes nouveaux heurts ont eu lieu entre la Police et les jeunes au centre d'Athènes, le lundi, avant et après un rassemblement de protestation prévu pour le premier anniversaire de la mort d'un jeune de 15 ans, en décembre de l'année dernière, au cours d'une bavure policière, alors que depuis trois jours les arrestations de manifestants approchent le millier dégageant une odeur de la capitale grecque en état de siège.

Voir aussi :
La police débordée à Athènes. Arrestations massives à l'occasion de l'anniversaire des émeutes de décembre 2008
Renforcement des peines pour les "encagoulés"
Les soi-disant activistes "anti-pouvoir" ont lancé des pierres et autres objets sur les policiers qui gardaient l'Université d'Athènes, qui, après intensification des attaques, ont répliqué avec utilisation de gaz lacrymogènes et procédé à plusieurs arrestations manifestants.

La police avait reçu l'ordre de garder le bâtiment néo-classique du rectorat de l'Université, un repère des activistes à Athènes, un jour après que des jeunes cagoulés eurent forcé sa porte et procédé à un vaste saccage, blessant légèrement le recteur.

Des incidents similaires ont eu lieu au Pirée, quand un groupe d'environ 500 jeunes manifestants, rassemblés devant un commissariat de Police, ont lancé des bouteilles et autres objets.


Face à face tendu entre activistes et policiers devant l'Université d'Athènes.Dans la matinée, plusieurs postes de police dans toute la région d'Athènes ont été pris pour cible de jets de pierres et de… mandarines, par les jeunes qui ont convergé par la suite vers le centre d'Athènes pour un rassemblement principal.

Près de 4.000 personnes ont participé à la manifestation appelée par les syndicats des enseignants et des lycéens scandant le slogan "la jeunesse n'oublie pas" et réclamant une meilleure éducation mais aussi la protection de l'asile dont jouissent les enceintes universitaires.

Plus de 140 personnes ont été arrêtées et près de 800 emmenés pour interrogatoire au milieu des incidents de toute la Grèce au cours des 48 dernières heures, dont plus d'une douzaine de ressortissants étrangers, parmi lesquels 3 Français, ainsi que des nombreux adolescents mineurs. Parmi les personnes arrêtées dans un "centre culturel" squatté par les "anarchiste", où selon la police se préparaient les cocktails molotov, la fille et le fils du vice-président du Parlement, 30 et 28 ans, député du Pirée, Grigoris Niotis. Selon leur père, ses enfants se trouvaient là pour prendre un… café. La plupart des personnes arrêtées étaient libérées lundi soir, quelques dizaines étant convoquées à comparaître devant les juges mardi.

Bien qu'une grande partie du centre de la capitale grecque est restée fermée à la circulation dans l'après-midi, quelque 20 vitrines et des façades ont été endommagées, les incidents restant toutefois moins nombreux et moins violents par rapport à l'an dernier.

En début de soirée, lundi, le calme semblait revenir et plusieurs artères du centre d'Athènes étaient rouvertes à la circulation.

Dans une déclaration en fin d'après-midi, le porte-parole du gouvernement Giorgos Petalotis a réitéré que le gouvernement "avait fait clairement comprendre qu'il y aura tolérance zéro pour ceux qui, prenant prétexte des événements en souvenir de Alexandros Grigoropoulos, seraient tentés d'ériger à nouveau un paysage de terreur et de chaos, comme l'an dernier, dans le centre d'Athènes."

Il n'en reste pas moins que la politique répressive du gouvernement conduit par le socialiste Giorgos Papandreou, deux mois seulement après ses prises de fonction, crée un malaise dans le pays par l'ampleur des arrestations et envoie une image déplorable du pays à l'étranger.

Le coût, ensuite : 10.000 policiers déployés avec leurs primes et heures supplémentaires, en se basant sur un surcoût moyen de 500 euros par policier, la facture s'élèvera à 5.000.000 d'euros pour les trois jours. Dans un contexte où les finances publiques de la Grèce sont surveillées de très près par l'Union européenne et les agences internationales de notation, un tel déploiement était-ce la meilleure option ?

Enfin, avec un bilan de 1.000 arrestations en trois jours, on ne peut plus parler de quelques éléments isolés, d'anarchistes, ou de bandes d'encagoulés d'Exarcheia, d'autant qu'une grande partie des interrogatoires conclus par des arrestations formelles concernent des mineurs. Soit, les troubles sont l'oeuvre de quelques dizaines d'extrémistes et, alors, il se pose un problème de libertés publiques pour le reste, la gande majorité de manifestants qui auraient été arrêtés sans raison ; soit la grogne est beaucoup plus profonde et populaire et, là, la répression n'est pas le moyen le plus indiqué pour ramener le calme. Le gouvernement devra rapidement clarifier l'idée qu'il se fait des émeutes et de leurs auteurs. Le maintient dans le flou actuel ne fera qu'aggraver la situation en poussant une large frange de la jeunesse dans les rangs des extrémistes.

pm    
   Le 10/12/09 à 20h04 Citer      

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Jouant une nouvelle fois sur les symboles alors que le monde entier attend des actes, le premier ministre, Georges Papandréou, a invité le président d'une ONG à assister au conseil des ministres de ce mercredi, en pleine crise de confiance aux capacités de redressement de l'économie, reconnaissant toutefois que "la patrie se trouve aux services des urgences" alors que, de son côté, le ministre des Finances, Georges Papaconstantinou, annonçait qu'il fera "ce qui est nécessaire".

Prenant la parole mercredi en Conseil des ministres, M. Papandreou a tenu à souligner, en commentaire des rapports négatifs sur l'économie grecque publiés laveille par plusieurs agences de notation internationales, que le Budget de l'Etat 2010 constitue un premier pas vers le redressement économique et la réduction du déficit.

Mais alors que les places financières doutent justement de ce Budget 2010 et attendent un complément du Budget, le premier ministre dénonce l'héritage du précédent gouvernement auquel il attribue le manque de confiance qui se manifeste actuellement sur les marchés.

Pire, en pleine tempête financière qui fait s'envoler les taux d'intérêt des emprunts grecs, et que ce sont les dirigeants étrangers qui interviennent pour rassurer les marchés insistant sur le peu de chances de faillite de la Grèce, pays-membre de l'Union européenne, M. Papandreou fait, lui, diversion en invitant une ONG à assister et prodiguer ses conseils au Conseil des ministres !

C'est ainsi que le président de Transparence internationale - section Grèce, Costas Bakouris, a été invité, à l'occasion de la journée internationale pour la Transparence, pour exposer des propositions concrètes de lutte anti-corruption. M. Bakouris a relevé que sur sur le plan général le cadre législatif de la Grèce est satisfaisant, mais que le problème est que les lois ne sont pas appliquées.

Pour M. Papandreou, "dans le Budget, [le gouvernement fait] les premiers pas vers un redressement de l'économie et la réduction du déficit, alors que nous ouvrons le dialogue sur la fiscalité, la gestion des recettes publiques, la transparence et la sécurité sociale, toutes choses qui seront indiquées dans le Programme de stabilité et de croissance".

Le premier ministre a informé le Conseil qu'il rencontrerait jeudi le président de la République, Carolos Papoulias, pour lui proposer une réunion des dirigeants des partis politiques sur la question de la corruption, un problème lié par ailleurs à la situation économique, déclarant de manière dramatique que "la patrie se trouve aux services des urgences" et que "le problème budgétaire menace pour la première fois depuis 1974 la souveraineté nationale".

"Les politiques criminelles de la Nouvelle Démocratie nous ont conduit dans une situation exceptionnellement difficile. La ND a exposé la Grèce et l'a transmise (au nouveau gouvernement) avec une souveraineté nationale diminuée", a affirmé M. Papandreou, ajoutant que le déficit de crédibilité de la Grèce fait actuellement l'objet d'exploitation, mais que les politiques suivies par le gouvernement "ferment une fois pour toute la porte à l'absence de crédibilité".

"Ce gouvernement", a ajouté le premier ministre, "fonctionne selon le seul critère que le peuple décide souverainement de son avenir. Nous avons gagné de durs combats, et sommes résolus de faire ce qu'il faudra pour réduire le déficit, réussir un équilibre budgétaire et la croissance partout".

Papaconstantinou devant la presse étrangère à Athènes
L'économie grecque connaîtra encore dans les prochains mois des perturbations sur les marchés internationaux, a estimé le ministre des Finances, Georges Papaconstantinou, dans une conférence de presse mercredi à l'Union des correspondants de la presse étrangère, CNN diffusant de son côté le même jour une interview du ministre.

La façon dont les marchés internationaux envisagent l'économie grecque est la conséquence en grande partie du déficit de crédibilité hérité du précédent gouvernement, et cet état de fait ne peut se régler en quelques jours, a souligné M. Papaconstantinou.

Le gouvernement actuel fera ce qui est nécessaire pour rétablir la confiance en l'économie grecque, a-t-il affirmé, déclarant qu'à partir d'aujourd'hui et jusqu'à la date du dépôt en janvier à Bruxelles du Programme de stabilité et de croissance, il donnera continuellement les preuves de ses intentions.

Le programme à moyen terme, a poursuivi le ministre, qui fixera le Programe de stabilité et de croissance donnera une image claire de la "feuille de route" concernant le redressement économique, sans hypothéquer l'avenir et avec contrôle de la dette publique. Et si la Grèce se trouve sous la protection de l'euro, le gouvernement toutefois ne s'en contente pas, puisque tout dépendra de ses actions, ses décisions et sa détermination, a annoncé le ministre.

Les interventions du premier ministre et de son ministre de l'économie n'ont pas rencontré l'écho espéré dans les milieux économiques puisque la Bourse d'Athènes, alors qu'elle commençait à se redresser dans la matinée après une chute de 6% la veille, clôturait finalement sur un nouveau plongeon de 4%, cumulant ainsi un recul de 16% sur les cinq dernières séances. Sur les places internationales, le spread mesurant l'écart des obligations grecques à 10 ans par rapport à l'équivalent allemand s'est encore allongé à 255 points.

Christine Lagarde exclue l'éventualité d'une faillite de l'économie grecque
La ministre française de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, Christine Lagarde, a déclaré ne pas croire au risque d'une faillite de l'économie grecque, dans des déclarations mercredi matin sur la chaîne de radio régionale "Radio Monte-Carlo".

"Je ne pense pas que la Grèce puisse faire faillite", a déclaré Mme Lagarde, informant qu'elle s'attendait mardi prochain à rencontrer le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou pour "discuter justement de la situation des finances en Grèce".

La ministre française rappelle dans cette interview que les Etats-membres de la zone Euro ont demandé à la Grèce l'application immédiate "d'un plan d'action efficace de recentrage et de recadrage des finances publiques".

pm    
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   Le 10/12/09 à 21h50 Citer      

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Merci de l'info.
Je suivais la Grèce quand il y avait la révolution "manquée" partout dans le pays.
Je replonge dedans ;)

   
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