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Gardasil� et Cervarix� encore une sale affaire du monde totalitaire marchand en pharmaceutique !

Tue, 21 Sep 2010 14:18:02 +0200

Encore une sale affaire que je vous d�voile ici s'agissant des vaccins Gardasil� et Cervarix�.

Gardasil� a �t� mis au point par le laboratoire Merck et commercialis� en France par Sanofi Pasteur MSD.
Cervarix� et l'homologue du Gardasil� mais les deux vaccins ne cible pas les m�mes virus.
Tous deux sont OGM et contiennent de l'aluminium. Note tr�s importante j'y reviendrais plus en d�tail quand aux doses.

Le prix Nobel de m�decine 2008, attribu� le 06 octobre 2008 � l'allemand Harald zur Hausen pour avoir identifi� le papillomavirus (VPH) comme la principal cause du cancer de l'ut�rus...
Ce prix Nobel est une b�n�diction pour l'industrie pharmaceutique, mais des conflits d'int�r�ts se profilent une fois de plus derri�re l'attribution m�me du prix Nobel � ce "d�couvreur" et pour cause, une enqu�te pr�liminaire est men� par le procureur su�dois Nils Erik Schultz, mandat� par le juge Christer Van Der Kwast, de l'unit� de lutte contre la corruption, sur la nature des diff�rents liens existant entre le groupe pharmaceutique anglo-su�dois AstraZeneca et deux entreprises en rapport �troits avec la fondation Nobel: Nobel Media AB et Nobel Web AB.
L'affaire a �t� r�v�l� par une radio au nom de Sverigen Radio et le journal Dagens Medicin deux jours avant la remise officiel du prix.
Il semblerai que Bertil Fredholm, pr�sident du comit� Nobel de l'institut Karolinska qui d�cerne le prix de m�decine, a travaill� � deux reprise, en 2006, en tant que consultant pour AstraZeneca.
Autre point perturbant la bonne fois du prix, Bo Angelin, un autre membre du m�me comit� qui d�signe le vainqueur, si�ge au conseil d'administration d'AstraZenaca depuis mai 2007.
D'apr�s le site du magazine Scientific American, la firme anglo-su�doise lui aurait vers� 30 000 $ l'an dernier.
Donc un conflit d'int�r�t et bien � craindre...

Beaucoup de pays tire la sonnette d'alarme aujourd'hui concernant ces vaccins car n'ayons pas peur de le dire:
nous sommes, enfin nos filles pour l'instant, des cobayes !
En Allemagne treize m�decins et scientifique de renom demandent l'arr�t de la d�sinformation et de la vaccination massive.
Aux Pays-Bas l'Erasmus Medical Center a publi� un article dans la Nederlands tijdschrift voor geneeskunde qui conteste l'utilit� des vaccins Gardasil� et Cervarix�.
En Autriche Une jeune femme vaccin�e au Gardasil� est d�c�d�e peu de temps apr�s (2 ou 3 jours) ce qui a entrain� une crise majeure et la ministre autrichienne de la sant� Andrea Kdolsky a d�cid� de ne plus rembourser le vaccin et de ne pas l'inclure dans le calendrier vaccinal.
En Australie quasiment 2.2 millions de jeunes filles ont re�u l'injection et une �tude � grande �chelle sur les r�actions anaphylactiques au Gardasil� a mis en �vidence un taux 5 � 20 fois plus �lev� par rapport aux anaphylaxies dues � d'autres vaccins. Publication du CMAJ (journal de l'association canadienne de m�decine).
En Norv�ge, Suisse, Canada, Espagne ont autant de militants s�rieux sur cette grave crise induite par les labo totalo marchand de mort ! Et je p�se mes mots !
Quand � la France, Angleterre, silence radio comme d'habitude...
Pire aux �tats-Unis des centaines de m�decins ont �t� recrut�s puis entra�n�s � faire des conf�rences _pay�es 4500$_ sur le Gardasil� et les politiciens ont �t� harcel�s afin qu'ils l�gif�rent contre le papillomavirus, subitement devenu un tueur redoutable...

DE GRAVES EFFETS SECONDAIRES !

Actuellement, selon le Vaers (Vaccine Adverse Event Reporting System) qui d�pend de la FDA (Food and Drug Administration), le nombre d'accidents (paralysies, syndrome de Guillain-Barr�, thromboses, arr�ts cardiaques, troubles de la vue, fausses couches, sans compter le risque de maladie auto-immunes qui peuvent survenir bien des ann�es apr�s le vaccin) aurait atteint le chiffre de 15 440 et les d�c�s � 43 !
Si nous nous r�f�rons au fait qu'il est officiellement admis que "seulement" 1 � 10% lui sont d�clar�s, nous pouvons penser que les accidents sont multipli�s en fait par 10, et nombreux sont ceux qui soutiennent cette estimation !!!
L'agence Judicial Watch a port� plainte contre la FDA et a demand� l'acc�s � la correspondance entre Merck et la FDA au sujet du vaccin, ainsi que les communications entre FDA et GlaxoSmithKline (GSK).
Et lorsque cette organisation a re�u les premiers rapports, elle a d�clar� que c'�tait un "CATALOGUE D'HORREURS !".
Quant au Cervarix�, le journal UK Mail online du 15 avril 2009 nous signalait que l'agence MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency) �quivalente anglaise du Vaers, avait re�u 1340 rapports de m�decins concernant le Cervarix�, utilis� au Royaume-Uni depuis 2008, parmi lesquels on trouvait le m�me pourcentage d'effets secondaires dramtiques qu'aux �tats-Unis.
OGM ET ALUMINIUM !!!
J'y reviens donc car c'est carr�ment hallucinant !
Ces vaccins sont donc transg�niques c'est-�-dire mis au point par la technique des OGM, et tous deux comportent de l'aluminium, bien connu pour ses effets d�l�t�res sur le cerveau.
Le Gardasil� contient 225 microgramme d'aluminium ainsi que du Polysorbate 80 qui rend les souris st�riles et qui est soup�onn� d'�tre carcinog�ne et mutag�ne, et du borate de soude, qui n'est plus utilis� dans les pr�parations m�dicinales car il est consid�r� comme un poison.
Le Cervarix� conteint lui 500 microgramme d'aluminium, mais comme si �a suffisait pas, il contient aussi un autre adjuvant, l'AS04, compos� de sels d'aluminium et de MPL (Monophosphoryl lipid A), un immunostimulant qui joue un r�le important dans la persistance du taux d'anticorps apr�s vaccination.
RAPPEL:
Le cancer du col de l'ut�rus est responsable de 1% des d�c�s par cancer chez les femmes, donc est ce vraiment n�cessaire de vacciner nos petites filles qui sont loin d'avoir l'�ge des rapports sexuels avec un vaccin dont la s�curit� et l'efficacit� sont plus que contestables ???

Seul en France le Pr Claude B�raud, professeur honoraire � l'universit� de Bordeaux, ancien vice-pr�sident de la Commission de la transparence de l'Agence fran�aise de s�curit� sanitaire des produits de sant�, ancien membre du Conseil M�dical et scientifique permanent de la Mutualit� Fran�aise, a r�clam� un moratoire sur cette vaccination.
Il a confi� au journal Le Monde qu'il craint << les perturbations �cologiques que ce vaccin pourrait induire dans l'�quilibre des souches virales, soit en favorisant le d�veloppement de souches r�sistantes, soit en accroissant la virulence de souches aujourd'hui inoffensives>>.
Il existe en effet un risque non n�gligeable que le vaccin favorise l'infection par d'autres souches de HPV r�sistantes qui d�joueraient plus facilement les d�fenses immunitaires, avec des cons�quences incontr�lable. C'est ce que les sp�cialistes des vaccins appellent la "pression s�lective" car on s'immisce dans les rapports naturels du syst�me immunitaire avec des virus alors qu'il est parfaitement capable de s'en d�barrasser tout seul la plupart du temps, et qu'on remplace une souche par d'autres souches � haut risque canc�rig�ne, ce qui favorise les dysplasies et les cancers du col de l'ut�rus !
C'est ainsi qu'on risque d'obtenir l'effet inverse...
Les frottis �vitent au moins 80% des cancers du col ut�rin.

Ainsi en France, nous persistons � toujours appliquer la m�me tactique, d�pourvue de tout esprit critique: accepter les ordres des labos, inciter � une consommation massive, prescrire � tout va, et toujours dans l'impunit� totale.
Personne n'a parl� du d�c�s de deux jeunes femmes en Europe, dont l'une �g�e de 22 ans est morte deux jours apr�s avoir �t� vaccin�, et l'autre, �g�e de 11 ans, trois jours apr�s.Le m�decin hospitalier qui a rapport� ce dernier cas a indiqu� que, pour lui, la mort �tait << due � une r�action anaphylactique au Gardasil�>> ayant provoqu� un arr�t cardiaque.
Cela aurait d� suscit� une enqu�te rigoureuse. En outre l'Afssaps a totalement occult� que, au del� de ces deux cas tr�s suspects de mort << subite et inexpliqu�e>>, d'autres femmes <<pr�alablement vaccin�es par Gardasil�>> sont mortes, comme l'a indiqu� l'EMEA dans son propre communiqu�...
Le paradoxe c'est que l'Afssaps a retir� du march� un vaccin contre la maladie de Carr� qui affecte les chiens, car les v�t�rinaires lui avaient signal� la mort d'un chiot. Combien de d�c�s humains faut-il pour obtenir le m�me retrait ???
En outre la France a d�j� engag� des millions d'€uros pour la pr�vention incertaine d'un danger qui n'existe pratiquement pas, par un vaccin aux dangers bien r�els, en se r�f�rant � l'�tude Edith III, publi�e dans la revue Gynecologic Oncology (volume 110, issue 2, aout 2008.) dans laquelle on ne trouve aucune r�f�rence aux liens d'int�r�ts qui unissent plus de la moiti� des signataires de l'�tude et le laboratoire qui commercialise le Gardasil�.

Le jeu de la pand�mie, The Great Flu

Thu, 19 Aug 2010 14:04:46 +0200

Tout est li�.

Il faut chercher le fil de l'argent et les coupables seront au rendez-vous.

In�vitablement.

Bonne journ�e.

Abb.

P.S. Je ne joue plus.
P.S. 2 Nous aurons tout ce qui nous manque, des feux d'argent aux portes des banques, des abattoirs de millionnaires, des r�servoirs d'ann�es-lumi�re. Et s'il n'y a pas de lune? Nous en ferons une. (R.D.)

R�sum� du livre d'Anton Parks

Mon, 01 Mar 2010 00:33:31 +0100

gina'abul c'Est l'ensemble des races reptiliennes, la famille de reptiliens tel que les annunas, Abgal, musgir,nungal, usumgal, etc.

les planificateurs sont ceux qu'ils cr�e la vie un peu partout dans l'univers. Plusieurs races en font parti et ils ne cr�ent pas des esclaves car toutes leurs cr�ations sont libre.

EA c'est le nom Akkadien de Sa'am(Enki)

LHC ... Auraient ils vu le Futur ?

Tue, 22 Dec 2009 20:11:06 +0100

Connaissez vous le LHC ? http://www.dailymotion.com/video/xbljky_lhc-auraient-ils-vu-le-futur-y_news

Renseignez-vous sur le LHC !!

http://www.dailymotion.com/video/x8uyqc_la-verite-sur-le-lhc-part-1-de-4_news
http://www.dailymotion.com/video/x8vvyl_la-verite-sur-le-lhc-part-2-de-4_news
http://www.dailymotion.com/video/x8wfz4_la-verite-sur-le-lhc-part-3-de-4_news
http://www.dailymotion.com/video/x90beo_la-verite-sur-le-lhc-part-4-de-4_news

http://la-verite-sur-le-lhc.blogspot.com/

L�antiviral Tamiflu se r�v�le �tre une grossi�re supercherie

Mon, 21 Dec 2009 22:15:21 +0100

Merci Roche Boiron

Les certitudes

Sun, 20 Dec 2009 11:05:06 +0100

Oui c'est vraiment excellent avec une pointe de fantastique en plus ! Tout ce que j'aime

Il en va de votre vie, stop � la vaccination H1N1

Sun, 20 Dec 2009 10:50:21 +0100

T�moignages d’effets ind�sirables violents

C’est bien connu : les effets ind�sirables des vaccins contre la grippe A/H1N1 sont d�risoires, une petite d�mangeaison locale, quand il y en a. D’ailleurs le gouvernement en est tellement persuad� qu’il vous fera signer une d�charge avant la piq�re. Tellement persuad�, que les laboratoires b�n�ficient d’une immunit� juridique. Avez-vous entendu parler d’effets ind�sirables violents suite aux vaccinations, au sacro-saint journal de 20h ? Moi pas. Et ne pas aborder le sujet, c’est laisser entendre qu’il n’y a pas mati�re � disserter.
Pourtant, la r�alit� du terrain est bien diff�rente. Si la plupart des vaccinations se passent, pour l’instant, correctement, les couacs commencent � se multiplier et certains d’entre eux sont peu rassurants. Pour l’instant, car le squal�ne, utilis� dans la guerre du golfe, qui a provoqu� une h�catombe dans les rangs am�ricains plusieurs ann�es apr�s avoir �t� administr�, pourrait refaire parler de lui (0) . Mais, m�me en se focalisant sur l’instant, la v�rit� commence � prendre forme.

Car, outre le doute sur le vaccin lui-m�me, vient s’ajouter la v�ritable d�bandade dans l’organisation de la campagne. En regard des personnels de sant� non form�s et r�quisitionn�s manu-militari, ce sont les conditions de vaccination qui commencent � �tre mises en causes, des � �tudiants qui vaccinent sans autorisation �, parfois sans m�decin qui supervise, et � la cha�ne – jusqu’� 600 vaccinations par jour et par �tudiant : � De plus en plus de cas d’accidents, de patients qui re�oivent des surdoses, remontent � mes oreilles. Car ce ne sont pas les m�mes �tudiants qui pr�parent le vaccin (m�lange d’une base et d’un adjuvant) et ceux qui l’administrent. Or le vaccin n’est pas le m�me pour tous ! �, rappelle Thierry Amouroux, secr�taire du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI). (1)

Un vaccin douteux, des novices r�quisitionn�s, accul�s dans les centres � coup de chantage administratif, qui manient la seringue � la mani�re des � temps modernes � de Charlie Chaplin, que peut-il sortir de bon de cette foire du tr�ne m�dicale ? Qu’on en juge :

� je me suis faite vaccin�e par pandemrix le 1er d�cembre, dans les deux jours qui ont suivis, rien si ce n’est la douleur dans le bras, le 3e jour reveil 3/4 h apr�s m’�tre endormie par des tremblements et l’insensibilit� de mes pieds jusqu’aux genoux. En totale panique j’ai appel� le 15 qui m’a dit d’attendre et de rappeler si cela persistait, dans la foul�e j’ai eu la diarrh�e et depuis �a va de mal en pis, je ne dors plus j’ai une douleur dans la poitrine. J’ai consult� et attend mes r�sultats sanguins ce soir, je pense que suivant cela je me rendrais aux urgences car je ne me sens vraiment pas bien. � (2)

� Je suis m�decin hospitalier, � ce titre j’ai fait parti de la 1�re vague de vaccinations. Et bingo, 3 jours apr�s l’injection, je me suis trouv� �tre l’un des 4 premiers patients � avoir un effet ind�sirable grave. "homme de 34 ans, avec paresth�sies..." d’apr�s l’Afssaps. Je vous �pargnerai les d�tails, mais bilan des courses : 1�re pouss�e de scl�rose en plaque, et d�j� un mois d’arr�t de travail. � (3)

� Samedi 21 novembre , j’ai commenc� � sentir des sensations anormales dans ma main gauche : picotement, engourdissement, froid. Ensuite se fut le tour de tout mon bras gauche puis le droit, ce qui m’a conduit lundi 23 novembre, � me rendre chez mon m�decin traitant avec 2 bras compl�tement engourdis et des fasciculations sur tout le corps (myokimies m’a pr�cis� le m�decin). Mon m�decin traitant m’a dirig�e, en suspectant un syndrome de Guillain Barr� sur le service de m�decine interne de l’h�pital le plus proche pour rencontrer le m�decin chef de service. Lorsque je me suis pr�sent�e dans le service, celui-ci a pris moins de 2 minutes dans les couloirs pour me dire de revenir vendredi 27.... � (4)

� je suis tr�s inqui�te, ma soeur s’est faite vaccin� dimanche dernier avec pandemrix, une heure apr�s elle a ressenti comme un enorme mal de tete et d�s le lendemain des fourmillements sont apparus dans les bras et les cuisses, les pieds, le visage... 3 jours apres ayant toujours des fourmillements, le centre de vaccination lui conseille de se rendre aux urgences lui informant que son �tat n’etait pas normal. Aujourd’hui vendredi nous en sommes l� : toujours des fourmillements et quelques maux de t�te ..... mais surtout une inflammation au cerveau (l�sion) datant de moins de 2 mois, nbre de ???? �lev� � 4 apr�s ponction lombaire donc il y a une inflammation et on doit lui faire un irm de la moelle epini�re au cours du week end..... Le m�decin ne nie pas le lien avec le vaccin, une d�claration va �tre faite mais aucun r�sultat ne peut le prouver. Elle a 32 ans et n’avait jamais eu ce type de symptome precedement. � (5)

� Bonsoir, alors voil� vaccin fait pour moi et mon fils hier soir � 17h44 lol pour �tre pr�cise avec le vaccin Celtura, hier aucun probl�me, aucune douleur ni pour mon fils, ni pour moi. Ce matin 5h30 mon fils se r�veille m’appelle je vais le voir il venait de vomir dans son lit et me disait avoir tr�s mal, je le touche il �tait plus que br�lant ! Je lui change son lit, lui apporte une poche de glace enroul�e dans un linge, je lui donne du frais � boire, j’essaye de lui faire prendre de l’algifor en sirop mais il a refus�, impossible de lui faire avaler, je prends sa temp�rature 39,9 c� alors qu’il allait parfaitement bien en allant se coucher. Bref nuit catastrophique, il dort � moiti� tous en g�missant par moment et en parlant mais genre hallucination il me disait qu’on �tait chez le m�decin alors qu’on �tait � la maison, bref il n’allait vraiment pas bien, j’ai �t� cherch� mon duvet, mon oreiller et je suis rest�e pr�s de lui toute la nuit � dormir parterre au pied de son lit (enfin dormir quelques minutes, se r�veiller, et ainsi de suite.) Ce matin 8h40 il se r�veille vraiment, mais il n’arrive pas se lever comme les jambes en coton, � peine il voulait se lever il retombait, j’ai appell� la hotline d’urgence p�diatrique (urgence je sais qu’ils sont d�bord�s mais quand m�me, plus d’1h pour pouvoir les atteindres...) car toujours 39c� de fi�vre et justement il restait couch� en plut�t pli� en deux en me disant qu’il arrivait pas se lever et qu’il avait sommeil. � (6)

� Durant la nuit de lundi � mardi, j’ai eu beaucoup de fi�vre. Je me suis r�veill�e avec mon bras gonfl�. Je ne pouvais plus le bouger �. R�sultat, une semaine d’arr�t pour la jeune fille et des regrets : � Si j’avais su, je ne me serais jamais fait vacciner. Les patients ne sont pas pr�venus que de tels effets peuvent arriver �. Avertie par plusieurs de ses patients, la doctoresse de l’�tudiante d�cide de ne plus les envoyer se faire vacciner. (7)

� J’ ai �t� vaccin� y a 15 jours et j’ ai eu tr�s mal au bas du dos pendant 8 jours ( sacrum d�plac� car parti plus faible de mon corps ).Ma femme est vaccin� depuis hier et se retrouve au lit avec le dos deglingu� � (8)

[…]

Ces t�moignages fran�ais peuvent �tre multipli�s � volont�, il suffit de parcourir les tr�s nombreux forums qui en parlent, et on peut faire la m�me chose pour tous les pays. Aux Etats-Unis, par exemple, c’est le triste t�moignage de la CheerLeader (9), qui a perdu l’essentiel de ses capacit�s motrices apr�s la vaccination, qui d�fraye la chronique. En Hollande, un vaccin a �t� retir� apr�s la mort de 3 b�b�s (10)

En lisant les t�moignages, on s’aper�oit qu’il n’existe aucune proc�dure de d�claration d’effets secondaires. Comment donc l’Afssaps peut-elle pr�tendre �tablir des statistiques, si seule une fraction de cas flagrants lui parvient ? Les patients sont livr�s � eux-m�mes, et l’administration m�dicale tra�ne la savate � reconna�tre un lien entre les effets ind�sirables et la vaccination r�cente. Comme les effets secondaires neurologiques (11), cette femme enceinte qui a perdu son b�b� (12), ou cet enfant de 9 ans, d�c�d� 4 jours apr�s s’�tre fait vaccin� (13). On comprend mieux le doute qu’avait �voqu� le Dr Girard sur la validit� de la pharmaco-vigilance.

Compte tenu de cette inertie administrative � reconna�tre et r�pertorier les effets ind�sirables, les multiples signalements de d�c�s � travers le monde, 55 reconnus officiellement � ce jour (14), ainsi que les effets ind�sirables graves, sont probablement tr�s en dessous de la r�alit�. Quand on voit que le CDC admet qu’il y a deux fois plus d’effets ind�sirables que pour la grippe saisonni�re, et que le taux d’effets pour le H1N1 est de 82 pour un million (15), �a laisse sans voix. En effet, l’Afssaps, qui ne b�n�ficie d’aucune ressource de suivi de terrain, parle d�j� de 0,5 effet ind�sirable sur mille (16), cad 500 pour un million.

En clair, les Etats-Unis ont … 6 fois moins d’effets ind�sirables que la France. De deux choses l’une, soit la France a acquis de la daube aupr�s des laboratoires, soit les autorit�s m�dicales am�ricaines sont encore plus complaisantes que les n�tres en mati�re de rapport statistique. A qualit� �gale de vaccin, et � honn�tet� statistique �gale, c’est 6 fois plus d’effets ind�sirables am�ricains qui auraient d� figurer dans la presse internationale, ce qui aurait (ramen� au chiffre de la population am�ricaine) dissuad� la plupart des gens d’aller se faire vacciner. Tout cela pour un taux de mortalit� qui aura eu le record du grotesque dans l’histoire de la m�decine : 0,03 pour mille, 30x moins que la grippe saisonni�re.

http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/vaccination-h1n1-cascade-de-66654

Grippe � chat

Wed, 16 Dec 2009 23:38:09 +0100

Tr�s bon commentaire en effet

Hivers

Wed, 16 Dec 2009 13:59:18 +0100

Marc 13:18 ?
"Priez pour que ces jours ne viennent pas en hivers....

Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (deuxi�me partie)
Article r�dig� le 16 d�c 2009, par Spencer Delane

Voici la deuxi�me partie du rapport command� par le d�partement de la D�fense du Pentagone, qui envisage pour 2010 un brusque refroidissement du climat. Bien s�r, le Pentagone ne diffuse pas ses rapports sans arri�res pens�es, notamment sur les solutions qu’il pr�conise. C’est donc avec un certain recul qu’il faut prendre connaissance de ce document.

paris

Un autre sc�nario pour l’h�misph�re sud

Une tr�s grande incertitude subsiste � propos du d�veloppement du climat dans l’h�misph�re sud, principalement parce que nous disposons de moins donn�es pal�oclimatologiques que pour l’h�misph�re nord. Les mod�les de climat dans les r�gions principales de l’h�misph�re sud pourraient imiter ceux de l’h�misph�re nord, devenant plus froids, plus secs et plus rudes, en raison de flux de chaleur depuis les tropiques vers l’h�misph�re nord qui tentent d’�quilibrer thermodynamiquement le syst�me climatique. Ou alors, le refroidissement de l’h�misph�re nord pourrait entra�ner une augmentation de la chaleur, des pr�cipitations et des temp�tes dans le sud, la chaleur normalement transport�e loin des r�gions �quatoriales par les courants oc�aniques se retrouvant emprisonn�e et le r�chauffement des gaz � effet de serre continuant � s’acc�l�rer. D’une fa�on ou d’une autre, il n’est pas invraisemblable que le changement brusque du climat provoquera des conditions atmosph�riques extr�mes, touchant en m�me temps plusieurs des principales r�gions du monde en terme de population et d’agriculture et mettant � l’�preuve l’approvisionnement en nourriture, en eau et en �nergie de la plan�te.

Les r�gions : 2010 � 2020

Le graphique ci-dessus pr�sente une vue simplifi�e des sch�mas climatiques d�crits dans ce sc�nario.

Europe. Durement frapp�e par le changement climatique, avec une moyenne annuelle des temp�ratures qui chute de 3,3�C en moins d’une d�cennie et des �carts plus importants encore le long de la c�te nord-ouest. Le climat en Europe du Nord-Ouest est plus froid, plus sec et plus vent�, la faisant davantage ressembler � la Sib�rie. L’Europe du sud conna�t de moindres changements mais souffre n�anmoins par moment de brusques refroidissements et de rapides changements de temp�rature. La r�duction des pr�cipitations fait de l’appauvrissement des sols un probl�me dans toute l’Europe, contribuant � la p�nurie alimentaire. L’Europe lutte pour contenir l’�migration des nations scandinaves et de l’Europe du nord � la recherche de chaleur, ainsi que pour refouler l’immigration issue des pays gravement touch�s en Afrique et ailleurs.

�tats-Unis. Un temps plus froid, plus vent� et plus sec rend les saisons de culture et de r�colte plus courtes et moins productives dans tous les �tats-Unis du nord-est, plus longues et plus s�ches dans le sud-ouest. Les zones d�sertiques sont expos�es � une recrudescence des temp�tes, alors que les zones agricoles souffrent de l’appauvrissement des sols du fait de l’�l�vation de la vitesse des vents et de la r�duction de l’humidit� au sol. L’�volution vers un climat plus sec est particuli�rement prononc�e dans les �tats du sud. Comme l’�l�vation du niveau de l’oc�an continue le long des c�tes, les zones littorales qui �taient en p�ril pendant la p�riode de r�chauffement le demeurent. Les �tats-Unis se replient sur eux-m�mes, investissant leurs ressources pour nourrir leur propre population, renforcer leurs fronti�res et g�rer la tension mondiale croissante.

Chine. Avec ses besoins alimentaires �lev�s �tant donn�e son importante population, la Chine est durement frapp�e � cause de ses pluies de mousson devenues al�atoires. Celles-ci, occasionnelles pendant la saison d’�t�, sont bien accueillies pour l’eau qu’elles apportent, mais elles ont des effets d�vastateurs car elles inondent des sols g�n�ralement � nu. Des hivers plus longs, plus froids et des �t�s plus chauds, provoqu�s par une diminution du refroidissement par �vaporation en raison de la r�duction des pr�cipitations, diminuent les ressources en �nergie et en eau d�j� faibles. Une vaste famine entra�ne le chaos et des luttes internes, alors que la Chine, froide et affam�e, lorgne jalousement sur les ressources �nerg�tiques du c�t� de ses fronti�res avec la Russie et les pays situ�s � l’ouest.

Bangladesh. Les ouragans persistants et un niveau de la mer plus �lev� provoquent d’�normes vagues qui entra�nent une importante �rosion c�ti�re rendant presque inhabitable une grande part du Bangladesh. De plus, l’�l�vation du niveau de la mer provoque la contamination des approvisionnements d’eau douce � l’int�rieur des terres, cr�ant une p�nurie d’eau potable et une crise humanitaire. Une �migration massive se produit, entra�nant des tensions en Chine et en Inde, d�j� en lutte pour contr�ler la crise � l’int�rieur de leurs propres fronti�res.

Afrique de l’Est. Le Kenya, la Tanzanie et le Mozambique font face au l�ger r�chauffement du climat, mais sont confront�s � une s�cheresse persistante. Accoutum�s � des conditions climatiques s�ches, ces pays ont �t� les moins influenc�s par le changement des conditions atmosph�riques mais, comme les principales r�gions de production c�r�ali�re sont en difficult�, leur approvisionnement alimentaire est mis � mal.

Australie. Principale exportatrice alimentaire, l’Australie lutte pour fournir de la nourriture � toute la plan�te, car les changements moins importants de son climat n’affectent pas s�v�rement son agriculture. Mais les grandes incertitudes au sujet du changement de climat dans l’h�misph�re sud rendent suspect ce sc�nario moins pr�occupant.

IMPACT SUR LES RESSOURCES NATURELLES

Les modalit�s de changement du temps et des temp�ratures des oc�ans affectent l’agriculture, les poissons, la faune sauvage, l’eau et l’�nergie. Comme les principales r�gions passent d’une tendance au r�chauffement � une tendance au refroidissement, les rendements agricoles sont moins pr�visibles car ils sont touch�s par des perturbations de la temp�rature et de la pluviom�trie ainsi que par la chute de 10 � 25% de la dur�e des saisons de culture et de r�colte. Alors que quelques parasites agricoles meurent en raison des changements de temp�rature, d’autres esp�ces r�sistent plus ais�ment � la s�cheresse et aux vents, requ�rant de nouveaux pesticides ou toute une panoplie detraitements. Les p�cheurs industriels, qui disposent de droits de p�che sp�cifiques dans des zones pr�cises, seront mal �quip�s face � une migration massive de leurs proies. Ne comptant que cinq ou six r�gions essentielles pour la culture c�r�ali�re dans le monde (les �tats-Unis, l’Australie, l’Argentine, la Russie, la Chine, et l’Inde), l’exc�dent de l’approvisionnement alimentaire mondial est insuffisant pour r�pondre � de graves conditions climatiques dans plusieurs r�gions en m�me temps, sans parler de quatre ou cinq � la fois. L’interd�pendance �conomique mondiale rend les �tats-Unis de plus en plus vuln�rables � des bouleversements �conomiques, cr��s par des variations climatiques locales dans des zones agricoles cl�s et � forte densit� de population tout autour du monde. Des carences catastrophiques dans l’approvisionnement en eau et en �nergie, ressources d�j� sous pression aujourd’hui dans le monde, ne peuvent �tre rapidement surmont�es.

IMPACT SUR LA SECURIT� NATIONALE

La civilisation humaine s’est �tablie avec la stabilisation et le r�chauffement du climat de la plan�te. Un climat instable et plus froid aurait signifi� que les humains n’auraient pu ni d�velopper l’agriculture, ni s’�tablir de fa�on permanente. Avec la fin du Dryas R�cent et gr�ce au r�chauffement et � la stabilisation qui ont suivi, les humains ont puapprendre les rythmes de l’agriculture et s’�tablir dans des endroits dont le climat permettait une production assur�e. La civilisation moderne n’a jamais fait l’exp�rience de conditions climatiques aussi durablement perturb�es que celles d�crites dans ce sc�nario. En cons�quence, les implications sur la s�curit� nationale d�crites dans ce rapport ne sont qu’hypoth�tiques. Les impacts r�els varieraient consid�rablement selon les nuances des conditions climatiques, de l’adaptabilit� de l’humanit� et des d�cisions prises par les politiciens.

Les violences et les perturbations dues aux pressions qu’engendrent de brusques changements climatiques, pr�sentent un genre de menace diff�rent pour la s�curit� nationale que celui auquel nous sommes accoutum�s aujourd’hui. La confrontation militaire peut �tre d�clench�e par un besoin extr�me de ressources naturelles, telles que l’�nergie, la nourriture et l’eau, plut�t que par des conflits li�s � l’id�ologie, � la religion ou � l’honneur national. Ces nouveaux motifs de confrontation changent la donne quant � la vuln�rabilit� des pays et modifieraient les signaux existants qui nous avertissent des menaces pesant sur la s�curit�

C’est un vieux d�bat d’�cole que de savoir dans quelle mesure les diminutions des ressources et les d�fis environnementaux conduisent � des conflits entre les �tats. Tandis que certains les consid�rent comme seul motif n�cessaire pour une nation d’en attaquer une autre, d’autres arguent du fait que leur effet premier est d’agir comme d�clencheurs de conflits entre des pays qui font face � des tensions sociales, �conomiques et politiques pr�existantes. Ind�pendamment de cette question, il semble ind�niable que des probl�mes �cologiques graves sont susceptibles de faire grimper le taux de conflit mondial.

Le co-fondateur et pr�sident du Pacific Institute for Studies in Development, Environment, and Security (Institut Pacifique d’�tudes sur le D�veloppement, l’Environnement et la S�curit�), Peter Gleick, d�crit les trois d�fis les plus fondamentaux que pose un brusque changement climatique vis-�-vis de la s�curit� nationale :

1.Manque de nourriture d� � la baisse de la production agricole

2.Diminution de la disponibilit� et de la qualit� de l’eau douce, due aux inondations et aux s�cheresses

3.Interruption de l’acc�s aux minerais strat�giques � cause du gel et des temp�tes

Dans l’hypoth�se d’un brusque changement de climat, il est probable que les contraintes li�es � l’acc�s aux ressources en nourriture, en eau et en �nergie seront d’abord g�r�es par des moyens �conomiques, politiques et diplomatiques, tels que des trait�s ou des embargos commerciaux. Cependant, avec le temps, les conflits sur l’utilisation de l’eau et des terres seront susceptibles de devenir plus graves et plus violents. Au fur et � mesure que le d�sespoir gagnera les �tats, la pression pour agir se fera plus forte.

fig5
Le graphique montre comment un brusque changement climatique peut faire que la capacit� de l’�cosyst�me � assurer la subsistance de l’homme tombe en dessous des besoins de celui-ci, sugg�rant qu’une insuffisance des ressources entra�ne une diminution de la population par la guerre, la maladie et la famine (cliquer sur l’image pour l’agrandir).

LA BAISSE DE LA CAPACIT� DE CHARGE

Aujourd’hui, la capacit� de charge, qui repr�sente l’aptitude de la Terre et de ses �cosyst�mes familiers, qui incluent les syst�mes sociaux, �conomiques et culturels, � assurer la subsistance d’un nombre fini de personnes sur la plan�te, est mise au d�fi partout dans le monde. Selon l’Agence Internationale de l’Energie (International Energy Agency), la demande globale de p�trole augmentera de 66% dans les trente ann�es � venir, mais la source de ces approvisionnements est peu claire. L’eau potable conna�t une contrainte similaire dans beaucoup de zones autour du monde. Avec 815 millions de personnes recevant des moyens de subsistance insuffisants de par le monde, certains pourraient dire que pour notre plan�te, nous vivons bien au-dessus de notre capacit� de charge, signifiant par l� qu’il n’y a pas assez de ressources naturelles pour entretenir notre mode de fonctionnement.

Beaucoup consid�rent que l’innovation technologique et un comportement adaptatif sont des moyens de contr�ler l’�cosyst�me mondial. En effet, c’est bien le progr�s technologique qui a permis d’augmenter la capacit� de charge au cours du temps. � travers les si�cles, nous avons appris comment produire plus de nourriture, d’�nergie et comment acc�der � plus d’eau. Mais le potentiel des nouvelles technologies sera-t-il suffisant quand une crise comme celle d�crite dans ce sc�nario se pr�sentera ?

Le brusque changement climatique est susceptible de pousser la capacit� de charge bien au-del� de ses limites d�j� p�rilleuses. La capacit� de charge a une tendance naturelle ou un besoin de se r�ajuster. Alors qu’un changement brusque du climat fait baisser la capacit� de charge mondiale, des guerres offensives seront men�es pour l’acc�s � la nourriture, l’eau et l’�nergie. Les pertes humaines dues autant � la guerre qu’� la famine et la maladie diminueront la taille de la population, ce qui, avec le temps, r��quilibrer la capacit� de charge.

Si vous observez la capacit� de charge au niveau d’une r�gion ou d’un �tat, il est �vident que les nations disposant d’une capacit� de charge �lev�e, comme les �tats-Unis et l’Europe de l’ouest, sont susceptibles de s’adapter plus efficacement aux brusques changements climatiques, car par rapport � la taille de leur population, elles ont plus de ressources � solliciter. Cela peut provoquer une aggravation aigu� des tensions entre ceux qui poss�dent et ceux qui sont d�munis et causer du ressentiment envers les nations dont la capacit� de charge est plus �lev�e. Comme les nations les plus riches ont tendance � employer plus d’�nergie et � �mettre dans l’atmosph�re plus de gaz � effet de serre comme le CO2, cela peut conduire � les montrer du doigt et � les bl�mer. Moins important que les preuves, scientifiquement �tablies, qu’il existe une relation entre les �missions de CO2 et le changement climatique, est la perception des pays touch�s et les actions qu’ils entreprennent.

LE LIEN ENTRE LA CAPACIT� DE CHARGE ET LA GUERRE

Steven LeBlanc, arch�ologue de Harvard et auteur d’un nouveau livre intitul� Carrying Capacity (La capacit� de charge) d�crit le rapport entre celle-ci et la guerre. Se basant sur d’abondantes donn�es arch�ologiques et ethnologiques, LeBlanc argue du fait qu’historiquement les humains ont organis� et men� des guerres pour des raisons vari�es, y compris pour les ressources et l’environnement. Les humains combattent quand ils d�passent la capacit� de charge de leur environnement naturel. Chaque fois qu’il y a un choix entre mourir de faim et piller, les humains pillent. Depuis la chasse et la cueillette, au sein des tribus agricoles, dans les territoires sous l’autorit� d’un chef jusqu’aux premi�res soci�t�s complexes, 25% de la population masculine adulte meure quand une guerre �clate.

La paix s’instaure lorsque la capacit� de charge augmente, comme cela a �t� le cas avecl’invention de l’agriculture, une bureaucratie efficace, l’ouverture du commerce � l’exportation et les perc�es technologiques. Des pertes humaines � grande �chelle, comme celles dues � la peste, installent aussi des temps de paix – comme en Europe apr�s les grandes pestes et en Am�rique du Nord chez les populations indig�nes apr�s que les maladies europ�ennes les eurent d�cim�es (c’est la diff�rence entre l’�chec de la colonie de Jamestown et le succ�s de Plymouth Rock). Mais de telles p�riodes d’apaisement sont de courte dur�e car la population augmente rapidement, se heurtant � nouveau � la capacit� de charge, et la guerre reprend. En effet, au cours des mill�naires la plupart des soci�t�s se sont d�finies elles-m�mes selon leur aptitude � faire la guerre et la culture guerri�re s’est profond�ment enracin�e. Les soci�t�s les plus combatives sont celles qui ont surv�cu.

Les deux r�actions les plus probables, face � une baisse soudaine de la capacit� de charge due � un changement climatique, sont d�fensives et offensives. Les �tats-Unis et l’Australie vont probablement faire de leurs pays des forteresses d�fensives, car ils disposent de ressources et de r�serves pour assurer leur autosuffisance. Gr�ce � la diversit� de leurs sols et leurs climats, � leur richesse, leurs technologies et leurs ressources abondantes, les �tats-Unis pourraient sans doute survivre sans pertes catastrophiques � des cycles de culture agricole r�duits ainsi qu’� des conditions climatiques difficiles. Les fronti�res seront renforc�es autour du pays pour maintenir au-dehors les immigrants affam�s ind�sirables en provenance des Cara�bes (un probl�me particuli�rement grave), du Mexique et de l’Am�rique du Sud.

L’approvisionnement �nerg�tique sera garanti gr�ce � des alternatives co�teuses (�conomiquement, politiquement et moralement) comme le nucl�aire, les �nergies renouvelables, l’hydrog�ne et de nouveaux contrats pass�s avec le Moyen-Orient. Des conflits usants � propos des droits de p�che, des subventions � l’agriculture et des aides aux d�g�ts des catastrophes deviendront monnaie courante. La tension entre l’Am�rique et le Mexique monte lorsque les �tats-Unis d�noncent le trait� de 1944 qui garantit l’�coulement de l’eau venant du fleuve Colorado. Des professionnels de l’assistance humanitaire seront recrut�s pour assurer les secours face aux inondations le long de la partie sud de la c�te est et pour faire face � des conditions beaucoup plus s�ches � l’int�rieur des terres. Cependant, m�me dans cet �tat d’urgence permanent, les �tats- Unis seront en bien meilleure posture que d’autres. Le probl�me insurmontable auquel sera confront�e la nation sera d’apaiser la tension militaire internationale croissante.

Lorsque la famine, les maladies, les catastrophes li�es � la m�t�o frappent, provoqu�s par le brusque changement climatique, les besoins de beaucoup de pays exc�deront leurs capacit�s de subsistance. Cela cr�era un sentiment de d�sespoir, susceptible de mener � de violentes agressions visant � restaurer l’�quilibre. Imaginez les pays d’Europe de l’est, luttant pour nourrir leurs populations et dont l’approvisionnement en nourriture, en eau et en �nergie est en chute libre, lorgnant sur la Russie, dont la population est d�j� en baisse, pour acc�der � ses ressources c�r�ali�res, son minerai et son �nergie. Ou figurez-vous le Japon, souffrant d’inondations le long de ses villes c�ti�res et de la contamination de ses provisions d’eau douce, convoitant les r�serves de p�trole et de gaz de l’�le russe de Sakhaline, afin d’alimenter en �nergie ses usines de dessalement et ses productions agricoles tr�s consommatrices d’�nergie. Envisagez le Pakistan, l’Inde et la Chine – tous �quip�s d’armes nucl�aires – se d�chirant � leurs fronti�res � propos des r�fugi�s, de l’acc�s � des rivi�res communes et des terres arables.

Les p�cheurs espagnols et portugais pourraient s’opposer � propos des droits de p�che, ce qui conduit � des affrontements en mer. Et des pays incluant les �tats-Unis vont probablement renforcer la s�curit� de leurs fronti�res. Avec plus de 200 bassins fluviaux communs � de multiples nations, il faut s’attendre � des conflits pour l’acc�s � l’eau potable, pour l’irrigation et le transport fluvial. Le Danube touche douze nations, le Nilen concerne neuf et l’Amazone sept.

Dans ce sc�nario, nous pouvons nous attendre � des alliances de circonstance. Les �tats- Unis et le Canada pourraient devenir un seul et m�me pays, simplifiant le contr�le desfronti�res. Ou bien le Canada pourrait garder pour lui sa puissance hydro�lectrique et poser des probl�mes �nerg�tiques aux �tats-Unis. Les deux Cor�es pourraient s’unir pour cr�er une entit� au savoir-faire technologique et disposant de l’arme nucl�aire.

L’Europe pourrait agir en tant que bloc unifi� pour limiter les probl�mes d’immigration entre les nations europ�ennes et organiser sa protection contre des agresseurs. La Russie, avec ses abondantes ressources en minerais, p�trole et gaz naturel pourrait sejoindre � l’Europe.

Dans ce monde d’�tats bellig�rants, la prolif�ration d’armes nucl�aires est in�vitable. Les r�serves existantes d’hydrocarbure s’amenuisent alors que le refroidissement du climat fait grimper la demande. Avec la p�nurie des sources d’�nergie et le besoin croissant d’y acc�der, le nucl�aire deviendra une source d’�nergie essentielle, ce qui acc�l�rera la prolif�ration nucl�aire, les pays d�veloppant leur capacit� � l’enrichissement et au retraitement [des mati�res radioactives] pour garantir leur s�curit� nationale. La Chine, l’Inde, le Pakistan, le Japon, la Cor�e du Sud, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne auront tous l’arme nucl�aire, de m�me qu’Isra�l, l’Iran, l’�gypte et la Cor�e du Nord.

Contr�ler les tensions militaires et politiques, les incidents occasionnels et la menace de guerre, ce sera le d�fi. Les pays tels que le Japon, qui ont un niveau �lev� de coh�sion sociale (o� le gouvernement peut engager avec efficacit� la population � changer de comportement), sont les plus � m�me d’y parvenir. Les pays dont la diversit� produit d�j� des conflits, tels que l’Inde, l’Afrique du Sud et l’Indon�sie, auront du mal � maintenir l’ordre. L’adaptabilit� et l’acc�s aux ressources seront d�terminants. Le d�fi le plus frustrant que posera le brusque changement de climat tiendra peut-�tre en ce que nous ne saurons jamais jusqu’� quel point du sc�nario de changement climatique nous sommes parvenus et combien d’ann�es, 10, 100, 1000… seront encore n�cessaires avant un certain retour � des conditions plus chaudes avec un red�marrage de la circulation thermohaline. Quand la capacit� de charge chute soudainement, la civilisation est confront�e � de nouveaux d�fis qui paraissent aujourd’hui inimaginables.

CECI POURRAIT-IL VRAIMENT ARRIVER ?

Les scientifiques sp�cialistes des oc�ans, de la terre et de l’atmosph�re, appartenant aux organisations internationales les plus prestigieuses, ont r�v�l� de nouveaux indices au cours de la d�cennie pass�e, qui sugg�rent que la probabilit� d’un important et rapide changement climatique est plus �lev�e que ce que la majeure partie de la communaut� scientifique et peut-�tre toute la communaut� politique ne sont pr�ts � envisager. S’il se produit, ce ph�nom�ne rompra la tendance actuelle de r�chauffement g�n�ral, ajoutant � la complexit� et au manque de pr�visibilit� du climat. Et une preuve pal�oclimatique sugg�re qu’un changement aussi brusque du climat pourrait commencer dans un proche avenir.

L’Institut Oc�anographique de Woods Hole rapporte que les mers entourant l’Atlantique Nord sont devenues moins sal�es au cours des quarante derni�res ann�es, ce qui a pour effet de rafra�chir le fond de l’oc�an dans l’Atlantique Nord. Cette tendance pourrait pr�parer le terrain � un effondrement ou un ralentissement du courant oc�anique et � un brusque changement climatique.

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Le graphique ci-dessus met en �vidence l’imminence possible d’un effondrement de la circulation thermohaline, l’Atlantique Nord �tant de plus en plus rafra�chi par les mers qui l’entourent, devenues moins sal�es au cours des quarante derni�res ann�es (cliquer sur l’image pour l’agrandir).

Avec au moins huit brusques changements climatiques r�pertori�s dans les relev�s g�ologiques, il semble qu’il vaille mieux s’interroger sur quand cela se passera, quelles en seront les r�percussions et comment nous pouvons nous y pr�parer au mieux, plut�t que de savoir si cela va vraiment avoir lieu.

SOMMES-NOUS PR�PAR�S � CE QUE L’HISTOIRE SE R�P�TE � NOUVEAU ?

Tous les journaux de la plan�te participent aujourd’hui au d�bat sur l’impact de l’activit� humaine sur le changement du climat. Puisque la prosp�rit� �conomique est li�e � l’utilisation de l’�nergie et aux �missions de gaz � effet de serre, on impute souvent au progr�s �conomique d’�tre � l’origine d’un changement du climat. D’autres signes sugg�rent que le changement de climat peut se produire ind�pendamment de l’activit� humaine, comme l’attestent les �v�nements climatiques survenus avant l’av�nement de la soci�t� moderne.

Il est important de comprendre les impacts humains sur l’environnement, autant ce qui est susceptible d’acc�l�rer que de ralentir, voire m�me d’inverser la tendance en mati�re de changement climatique. Les carburants alternatifs, le contr�le des �missions de gaz � effet de serre et les mesures de pr�servation sont des efforts qui valent la peine. De plus, nous devrions nous pr�parer aux effets in�vitables d’un brusque changement du climat, qui surviendra probablement ind�pendamment de l’activit� humaine.

Voici quelques recommandations pr�liminaires pour pr�parer les �tats-Unis � un brusque changement de climat :

1. Am�liorer les mod�les de pr�vision climatique. Davantage de recherches devraient �tre conduites pour que les pr�visions portant sur le changement du climat soient plus fiables. Il faut approfondir la compr�hension du rapport entre le comportement des oc�ans et le changement de climat. Ces recherches devraient se concentrer sur les forces actuelles, pass�es et � venir, dans le but d’accro�tre notre compr�hension d’un brusque changement de climat, comment il peut intervenir etcomment nous saurons qu’il se produit.

2. Assembler des mod�les pr�visionnels complets des r�percussions du changement climatique. Des recherches cons�quentes devraient �tre men�es sur les possibles cons�quences �cologiques, �conomiques, sociales et politiques du brusque changement climatique. Des mod�les et des sc�narios sophistiqu�s devraient �tre d�velopp�s pour pr�voir les situations qui se produiront localement.

Un syst�me devrait �tre con�u pour identifier comment le changement de climat peut affecter la r�partition et gestion globale du pouvoir social, �conomique et politique. Ces analyses peuvent �tre employ�es pour att�nuer les causes potentielles de conflits avant qu’ils ne se produisent.

3. Cr�er une �chelle de mesure de la vuln�rabilit�. Des crit�res devraient �tre recens�s pour appr�hender la vuln�rabilit� d’un pays aux r�percussions du changement de climat. Ces crit�res peuvent inclure l’impact climatique sur les ressources agricoles, aquif�res et min�rales, le savoir-faire technique, la coh�sionsociale et l’adaptabilit�.

4. Identifier des strat�gies � sans regrets ni remords �. Des strat�gies s�res devraient �tre identifi�es et mises en application pour garantir un acc�s fiable aux approvisionnements alimentaires et � l’eau et pour assurer la s�curit� nationale.

5. Pr�parer des r�ponses adaptatives. Un ensemble de mesures adaptativesdevrait �tre mis en place pour r�pondre et se pr�parer aux �v�nements in�vitables engendr�s par le climat, telles que les migrations massives, les maladies et les�pid�mies, les carences d’approvisionnement en nourriture et en eau.

6. �tudier les implications locales. Les premiers effets du changement de climat sont locaux. Tandis que nous pouvons anticiper des changements de la fr�quence, de la r�sistance et de la nuisance des parasites, ainsi que les changements de la productivit� agricole, il convient de regarder de pr�s o� et dans quelles conditions sp�cifiques cela arrive pour savoir de quels parasites il s’agit, quelles r�coltes et quelles r�gions sont vuln�rables, et � quel point les r�percussions seront graves. De telles �tudes devraient �tre entreprises en particulier dans les r�gions d’importance strat�gique pour la production de nourriture.

7. Explorer des options g�o-technologiques de contr�le du climat. Aujourd’hui, il est plus facile de chauffer que de refroidir le climat, ainsi il pourrait �tre possible d’ajouter divers gaz � l’atmosph�re, tels que des carbones hydrofluor�s, pour compenser les effets du refroidissement. De telles actions devraient �tre �videmment �tudi�es avec soin, car elles risquent d’aggraver les conflits entre lesnations.

CONCLUSION

Il est tout � fait plausible que d’ici � une d�cennie un changement brusque et imminent du climat devienne une �vidence claire et s�re. Il est �galement possible que nos mod�les nous permettent de mieux en pr�voir les cons�quences. Dans cette perspective, les �tats-Unis devront prendre des mesures d’urgence pour emp�cher et att�nuer certains des impacts les plus importants. L’action diplomatique sera n�cessaire pour r�duire au minimum la probabilit� de conflit dans les zones les plus touch�es, les Cara�bes et l’Asie tout particuli�rement. Cependant, dans ce sc�nario, des mouvements de population massifs sont in�vitables. Apprendre � contr�ler ces populations, les tensions qui surgissent aux fronti�res et les r�fugi�s qui en r�sultent, deviendra primordial. De nouvelles formes d’accords de s�curit�, portant sp�cifiquement sur l’�nergie, la nourriture et l’eau, seront �galement n�cessaires. En bref, alors que les �tats-Unis eux-m�mes s’en sortiront mieux et ont une meilleure capacit� adaptative, ils se retrouveront dans un monde o� l’Europe luttera int�rieurement, confront�e � des flots de r�fugi�s se d�versant sur ses rivages, et o� l’Asie traversera une grave crise par rapport � l’eau et � la nourriture. Bouleversements et conflits seront les caract�ristiquesend�miques de la vie.

Source originale en anglais : Abrupt Climate Change

Vacciner a tout prix

Sun, 13 Dec 2009 19:17:54 +0100

Tant mieux qu'ils usent de ces m�thodes, au moins �a reveille les gens...