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Goldman Sachs => CFR => Bilderberg !

Sun, 27 Nov 2011 11:41:13 +0100

Lien de l'article sur mon blog personnel:
http://m4khn0.blog4ever.com/blog/lire-article-549721-3247746-the_new_world_order_face_aux_peuples__.html

Copie:
Comme beaucoup derni�rement j'ai re�u ce message:
_________________________________________________
Gardien de la Paix : 1 600 euros pour risquer sa vie,
Pompier professionnel : 1 800 euros pour sauver une vie,
Instituteur : 1 900 euros pour pr�parer � la vie,
M�decin : 5 000 euros pour nous maintenir en vie,

S�nateur : 19 000 euros pour profiter de la vie,

Ministre : 30 000 euros pour nous pourrir la vie !!!
_________________________________________________

Le reste est de moi. Ce que j'�cris est v�rifiable puisque c'est le fruit d’une r�flexion personnelle appuy�e par mes nombreuses lectures d'articles de journaux, de livres et sur le net.

Je r�siste pas � vous mettre ce qui, a mes yeux, est pire qu'une place de ministre:
www.journaldunet.com/economie/magazine/salaires-patrons/

Cliquez sur "Lire le classement".
Maintenant petit calcul par exemple pour le premier M. Michel Rollier, pdg de michelin:
4,5 million d'€uros en 2010 (son salaire sans compter ce qu'il a en avantages en nature et plus-value sur stocks-options qui sont non incluse).
1 365 € brut c'est le smic.
1365 X 12 = 16380 / an, brut !!
J'insiste la r�alit� en net c'est en dessous de 13000 par an.
Je continu: 4500000 / 16380 = 274.7252747252747
H�h� ! Ce monsieur a donc gagn� en 2010 + de 274 ann�es de smic !!!
Ce n'est qu'une part des revenus qui sont d�clar�s ici ne vous y trompez pas !

Vous pouvez v�rifier les revenus dans le monde sur ce lien aussi:
http://www.juritravail.com/salaire/celebrites/grands-patrons/pdg/classement-complet.html

Jean-Philippe Thierry - 23 200 000 €
Pdg - Revenus 2007
Pdg du Groupe AGF Allianz. Salaires, avantages en nature et plus-value sur stocks-options inclues.
Source : Capital, nov. 2008

23200000 / 16380 = 1416, 36 et des broutilles...
1416.36 ann�es de SMIC en 1 an !!!

Alors franchement ces messieurs doivent rire en voyant le salaire d'un ministre et surtout les pauvres gens ignorants qui bl�ment le salaire de leurs ministres.
Je ne d�fends pas les ministres, loin de moi cette id�e, car ils ne sont que les valets des financiers qui leur distribuent des miettes afin de financer leur campagne, qui arrondissent leur porte-feuille quand ceux-ci prennent des d�cisions �tatique par lois et d�crets qui sont dict�s par ces maitres penseur qui pour finir, leur r�serve des places de choix au sein de leur institutions financi�re priv� quand leur contrat est honor�!

Il existe dans notre monde des groupes de r�flexions ou Think Tank (http://fr.wikipedia.org/wiki/Think_tank) qui r�unissent des grands patrons de multinationale, directeurs d'�tablissement bancaire, chef de partis politiques de tous bords, sans compter directeur du FMI et autres familles influente de la finance...
Ces r�unions se passent � travers le monde car pour eux la Terre est devenue un "village".
Ce qui s'y d�roule reste �loign� de la connaissance citoyenne de tous pays, pourtant j'ai du mal � croire qu'aucun projet et ou d�cision n'y soit pris !

Le Nouvel Ordre Mondial met en place ses pions.
Et oui, comme le d�clarait il y a peut le trader Alessio Rastani sur la BBC:

"Goldman sachs dirige le monde !"
Et ces paroles ne sont pas de pure afflubation comme certains le disent en d�nigrant les propos de cet homme.

Marc Roche, journaliste et auteur de "La banque - Comment Goldman Sachs dirige le monde"

Europe1 - Goldman Sachs, plus fort que jamais par jackyshow38

Max Keiser sur France 24:

Petite objection de conscience:
Quel est le lien entre Mario Monti, Mario Drahgi et Lucas Papad�mos, Le nouveau pr�sident du conseil Italien, Le nouveau pr�sident de la BCE et le nouveau premier ministre Grec ?
Et bien ils appartiennent tous les trois � Goldman Sachs !!!

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/11/14/goldman-sachs-le-trait-d-union-entre-mario-draghi-mario-monti-et-lucas-papademos_1603675_3214.html

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/goldman-sachs-le-cote-obsur-de-104244

Goldman Sachs, les nouveaux maitres du Monde, Canal Plus:

Cet homme, Mario Monti, est aussi mis en avant par la CFR
( Pour ceux qui ne connaissent pas cette comission: http://fr.wikipedia.org/wiki/Commission_Trilat%C3%A9rale ):

Sur le site de cette commission:
http://www.trilateral.org/go.cfm?do=Page.View&pid=34

La traduction:
Mario Monti est le pr�sident de l'Universit� Bocconi, Milan et pr�sident d'honneur de Bruegel, la politique, bas� � Bruxelles de r�flexion �conomique. Le pr�sident de la Commission europ�enne lui a confi� une mission sur une nouvelle strat�gie sur le march� unique publi� en mai 2010, et il a �t� membre du Groupe de R�flexion sur l'avenir de l'Europe mis en place par le Conseil europ�en.
Il a servi en tant que membre de la Commission europ�enne, en charge du march� int�rieur desservices financiers et la fiscalit� (1995-1999) puis de la concurrence (1999-2004). En plus ded�cisions sur les affaires marquantes (parmi lesquelles GE / Honeywell, Microsoft, les banques r�gionales allemandes), il a introduit des r�formes radicales de l'UE de contr�le antitrust et de concentration et a men�, avec les autorit�s am�ricaines, la cr�ation de l'International Competition Network (ICN) . Avant de rejoindre la Commission, il a �t� professeur d'�conomie et puis recteur deBocconi.

Il a publi� de nombreux articles sur l'�conomie mon�taire et financi�re, la politique fiscale, politique de concurrence, et l'int�gration europ�enne. Il avait un r�le consultatif dans la formulation de la politique en Italie (� partir des ann�es 1980 avec la r�forme financi�re et le droit de la concurrenceen premier), le Royaume-Uni (le Comit� Seigneur Roll proposant l'ind�pendance de la Banque d'Angleterre en 1993), et la France (� la Commission Attali sur la croissance �conomique, nomm� par le pr�sident Sarkozy en 2007). Il est conseiller international de Goldman Sachs. Il est dipl�m� del'Universit� Bocconi et a poursuivi ses �tudes � l'Universit� Yale. Mario Monti, a �t� �lu pr�sidenteurop�en de la Commission Trilat�rale en 2010.
avril 2011

A partir de tout ce que je viens de citer ci-dessus, on peut dire que Goldman Sachs, qui est la plus grosse banque d'affaire au Monde, dirige le monde, non plus exclusivement par l'argent, mais maintenant int�gre ses pions au plus haut sommet de gouvernement dit "d�mocratique".
Voyez aussi le lien Mario Monti CFR... CFR => Bilderberg...
Bilderberg c'est quoi ??
http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Bilderberg
Faites la comparaison avec les fondateurs du CFR...

La liste des participants depuis 2000:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_participants_au_groupe_Bilderberg#Notes_et_r.C3.A9f.C3.A9rences

Il serait bon maintenant de r�fl�chir � ce qu'est notre d�mocratie et ce qu'il serait bon de d�cider � faire pour faire entendre ce que nous d�cidons pour nous, pour nos vies et ceux qui viendront apr�s nous !

Réveillez-vous enfin avant qu'il ne soit trop... par samsamsong

Julien, un indign� qui veut changer son statut d'indign� en celui de r�volutionnaire !

Jean-Pierre BRARD � l'assembl�e Nationale

Sun, 24 Oct 2010 14:34:50 +0200

L'Argent Dette de Paul Grignon

Wed, 20 Oct 2010 21:43:05 +0200

L'Argent Dette 2 : Promesses Chimériques 2010 FR intégral
envoyé par bankster2008. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

L'affaire Woert dans toute sa splendeur.

Tue, 19 Oct 2010 15:19:22 +0200

�mission de radio sur le sujet de Woert, le bouclier fiscal et les chevaux de Chantilly, la commune ou Woert est Maire:
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1999&var_recherche=chevaux

Derri�re les laques, les d�odorants et l’�ternel f�minin... un peu d’histoire ancienne.

(extrait de Histoire Secr�te du Patronat, Benoit Collombat et al., La D�couverte 2009)

L’Or�al, fondateur Eug�ne Schueller (1881-1957)

Fils de p�tissier alsacien devenu pr�parateur en pharmacie, il se rend c�l�bre avant la premi�re guerre mondiale en lan�ant avec succ�s une teinture pour cheveux, � L’Or�al �. Apr�s la guerre, Schueller s’associe avec un financier, Henri de Rothschild, pour lancer Monsavon, puis les vernis Valentine ou le shampooing Dop.

Il devient un homme d’affaires riche et prosp�re, qui se m�le aussi de politique. En 1936, il fraye avec les groupes d’extr�me droite et, en 1940, il accueillera le r�gime de P�tain comme une � d�livrance �.

En 1941, en accord avec les autorit�s allemandes, le P-DG de Monsavon L’Or�al cr�e le Mouvement social-r�volutionnaire avec Eug�ne Deloncle, l’ancien animateur du mouvement d’extr�me droite la Cagoule, qu’il c�toie depuis des ann�es et dont il est le m�c�ne. Puis il participe � l’�quipe dirigeante du Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel D�at (1894-1955).

Mais � la lib�ration, il ne figure sur aucune liste noire. Il s’empresse alors de faire repara�tre le magazine Votre Beaut� et relance ses affaires, qui lui survivront : le groupe L’Or�al deviendra apr�s sa mort un g�ant mondial des cosm�tiques.

(...) Pendant toute sa carri�re, [Claude B�b�ar] s’appuiera sur de puissants r�seaux pour assurer sa r�ussite (...) A Rouen, il rencontre deux hommes politiques qui vont peser puissamment sur son destin. Le premier s’appelle Andr� Bettancourt, le gendre d’Eug�ne Schueller, fondateur du groupe L’Or�al. Tr�s impliqu� dans le gouvernement de Vichy avant de devenir r�sistant, proche de Fran�ois Mitt�rand, Bettencourt est un des hommes forts de la Normandie. Son ralliement � de Gaulle n’est que de fa�ade. Gr�ce � sa fortune, il soutient les R�publicains Ind�pendants (RI), puis l’Union pour la D�mocratie Fran�aise (UDF) de Valery Giscard d’Estaing.

Dans les ann�es 1990, Jean Frydman, actionnaire �vinc� d’une filiale de L’Or�al, r�v�lait les "erreurs de jeunesse" de plusieurs dirigeants du groupe. Dans un documentaire de William Karel (La Cagoule, enqu�te sur une conspiration d’extr�me droite, Arte Vid�o, 1996), on apprend que le groupe a embauch� par exemple :

Jacques Corr�ze, ancien cagoulard, soup�onn� d’avoir particip� � divers assassinats, collaborateur notoire sous l’occupation, cadre sup�rieur chez l’Or�al (Espagne, Am�rique Latine, Etats-Unis)

Jean Filliol, ancien cagoulard, charg� des basses œuvres au sein de l’organisation secr�te, dit � le Tueur �. Pendant la guerre, il devient le patron du sinistre deuxi�me service de la milice de Joseph DARNAND � Limoge. Il fuit en Allemagne en 1944, puis en Espagne o� il sera finalement embauch� par l’Or�al.

On peut lire aussi une s�rie de d’articles parus en 2009 dans le diplo, notamment http://www.monde-diplomatique.fr/2009/06/CHOLLET/17174

Et ce monsieur nous pond la r�forme des retraites ?!

N�o Lib�ralisme

Fri, 19 Feb 2010 19:58:57 +0100

H�, je ne savais pas cette citation !
Merci le l'enrichir avec le sujet

Qui dirige reellement la france

Wed, 10 Feb 2010 01:11:36 +0100

Je te rejoins Worldpeace sur ton commentaire.
Ce que tu avances, je l'ai appris aussi

La realit� de la politique face a la crise

Sun, 17 Jan 2010 10:09:24 +0100

je vous recommande cet entretien

http://www.prisedeconscience.org/

Les partis politiques

Sat, 14 Nov 2009 19:48:06 +0100

Tu m'en vois ravi.

Param�tres de l'�conomie

Sun, 08 Nov 2009 01:22:08 +0100

Dans la mesure o� l'on reste dans un syst�me o� l'on compte les efforts et les r�mun�ration � l'aide d'un nombre � une seule dimension, on peut se demander ce qu'il faudrait pour que cela tourne rond. Bien entendu, on peut imaginer un syst�me sans compter, mais je laisse cela � ceux qui ont de l'exp�rience dans l'anarchisme.

D�j� on peut d�gager un certain nombre de param�tres qui d�crivent soit un �tat constat�, ou bien un param�tre qu'on d�finit directement. Parmi les param�tres on a :

Le taux de ch�mage, c'est-�-dire le pourcentage de personnes qui n'ont pas d'emploi.
La variabilit� du taux de travail horaire, c'est-�-dire la variation possible du pourcentage de travail selon les individus. Dans le cas du ch�mage simple, le temps de travail officiel est de 0% et dans du travail � 35h, il est de 21%.

Avec l'hypercapitalisme, on pr�f�re user les salari�s plut�t que d'embaucher plus de personnes, parce que les co�ts engendr�s ne sont pas pay�s directement par les entreprises. Le syst�me actuel privil�gie donc la variabilit� du taux de travail horaire et la densit� du travail. De plus, les personnes qui ont peur d'�tre au ch�mage acceptent des salaires moins �lev�s, alors l'hypercapitalisme favorise un taux de ch�mage �lev�.

L'id�al est un taux de ch�mage tr�s bas qui correspond simplement aux changements de travail ou bien aux pauses de travail (ann�e sabatique par exemple). Et l'id�al est une faible variabilit� du taux de travail, c'est-�-dire une r�partition plut�t �quitable de la charge de travail. Certains individus peuvent souhaiter travailler plus ou travailler moins, ce qui fait que l'id�al n'est pas une r�partition uniforme du travail, mais tout de m�me, beaucoup plus de r�partition qu'aujourd'hui.

Il y a d'autres param�tres :

Le niveau d'exploitation, c'est-�-dire la quantit� d'�nergie vitale qui est capt�e par certaines personnes sur d'autres personnes par rapport � leur �nergie vitale totale. On peut comparer cela � l'usage des barrages pour r�cup�rer de l'energie de l'�coulement de l'eau.
Le degr� d'in�galit� de patrimoine

Le syst�me hypercapitaliste ne met pas de limite � la quantit� de capital d�tenu. Or plus une entreprise est grande, plus elle peut faire des �conomies d'�chelles. Comme juridiquement dans le syst�me actuel, l'entreprise a une dette �ternelle envers ses propri�taires, il s'ensuit qu'il y a une accumulation du capital sans fin, et ce en plus grande proportion pour ceux qui poss�dent plus. Il y a donc une convergence vers l'in�galit� de patrimoine quelque soit les conditions de d�part. Comme Juridiquement les entreprises doivent verser l'int�gralit� du b�n�fice final aux actionnaires, le degr� d'exploitation est �lev�, d'autant plus que les salaires sont bas.

L'id�al serait que le capital ne croissent pas sans cesse. Pour cela on peut le limiter. Ainsi, m�me si quelqu'un accumule, il ne pourra pas le faire au-del� d'une certaine mesure, qui est � d�terminer d�mocratiquement. Mais le fait que le capital augmente tellement, c'est parce que les propri�taires des entreprises, � savoir les actionnaires, encaissent les b�n�fices. Or il ne fournissent aucun travail et le revenu est d�multipli� par le capital d�tenu. L'id�al serait donc que les b�n�fices soient �quitablement distribu� aux travailleurs. L'actionnariat n'existerait alors pas, et les propri�taires profiteraient simplement que leur machines soient entretenues. Pour qu'ils puissent augmenter leur capital, il faudrait qu'il travaille d'autant, et donc l'accumulation serait beaucoup plus lente, comme pour tout le monde. Le fait d'avoir des moyens de production serait comme un patrimoine qu'on pourrait c�der en �change de cr�dits correspondants.

L'horizontalit� ou la verticalit� hi�rarchique de la soci�t�.

D'un point de vue th�orique, une soci�t� est horizontale si tout le monde a la m�me influence et elle est verticale si une tr�s petite minorit� contr�le tout. D'un point de vue pratique, il est impossible de tout contr�ler et donc une soci�t� n'est jamais totalement verticale. Sym�triquement, il y a toujours des personnes qui ont plus d'influences ou plus de charisme dans les groupes de personnes, et certaines personnes m�me n'ont pas envie de participer aux d�cision. Une soci�t� n'est donc jamais totalement horizontale. Dans une soci�t� anarchiste id�ale, il y a une l�g�re pente vers les personnes ayant davantage de sagesse ou de charisme. Dans une soci�t� cauchemardesque, la pente est tr�s tr�s raide, et la marge de manoeuvre est tr�s limit�e.

Il est clair que d'un point de vue des diff�rences de capital, on peut aller vers une soci�t� plus horizontale gr�ce � la limitation de l'influence des individus. Mais si on limite trop les individus, ils perdent leur libert� individuelle. En ce sens, la n�gation de la propri�t� n'est pas l'horizontalit�, mais une sorte de verticalit� � travers les r�gles collectives des membres influents du groupe. L'extr�me est bien entendu le communisme totalitaire. Le capital n'est pas le seul mode d'influence, il y a d'autres influences intellectuelles, psychologiques, spirituelles etc. Ce qui fait que pour rendre la soci�t� horizontale, il faut aussi trouver des moyens de limiter la possibilit� de manipulation, ce qui n'est possible qu'avec l'�ducation du peuple � l'analyse des techniques de propagande.

Avez-vous des id�es d'autres param�tres ?