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Derniers sujets du forum http://nouvelordremondial.lescigales.org Derniers sujets du forum (C) 2005-2009 PHPBoost fr PHPBoost Mes valeurs http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=469#m2139 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=469#m2139 Mes valeurs sont dans mon onglet "article" sur le site à ce chemin:<br /> <a href="http://nouvelordremondial.lescigales.org/articles/articles.php?cat=11">http://nouvelordremondial.lescigales.org/articles/articles.php?cat=11</a><br /> <br /> Vous y retrouverez tous les articles que j'ai rédigé <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/clindoeil.gif" alt=";)" class="smiley" /><br /> Vous pouvez les commenter et les notés aussi <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/clindoeil.gif" alt=";)" class="smiley" /> Wed, 13 Oct 2010 11:32:36 +0200 Conscience de "animal" http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=194#m1122 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=194#m1122 En effet très belle leçon. Si même les annimaux se soulèvent contre l'ordre établi, qu'attendons nous? On se dit plus évolué, mais dans les faits on est pas mieux, voir même pire<img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/colere.gif" alt=":gre" class="smiley" /> Sat, 05 Dec 2009 13:40:01 +0100 Le Processus de Domestication et le Rêve de la Planète http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=120#m626 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=120#m626 Ce que vous voyez et entendez en ce moment précis n'est qu'un rêve. Vous rêvez à l'instant même, le cerveau éveillé. Rêver est la fonction principale de notre esprit qui fait cela vingt-quatre heures par jour. Il rêve lorsque le cerveau est éveillé et également lorsque ce dernier dort. <br /> <br /> La différence c'est que, durant l'état de veille, le cadre de référence matériel nous fait percevoir les choses de façon linéaire. Lorsque nous nous endormons, nous n'avons plus ce cadre de référence, aussi le rêve a- t-il tendance à changer constamment.<br /> <br /> Les humains rêvent en permanence. Avant notre naissance, les humains nous précédant ont créé un grand rêve extérieur que l'on appelle le rêve de la société ou le rêve de la planète. Le rêve de la planète est le rêve collectif résultant des milliards de rêves personnels plus petits qui, ensemble, forment le rêve d'une famille, le rêve d'une communauté, le rêve d'une ville, le rêve d'un pays, et finalement le rêve de toute l'humanité. Le rêve de la planète comprend toutes les règles de la société, ses croyances, ses lois, ses religions, ses différentes cultures et modes de vie, ses gouvernements, ses écoles, ses événements sociaux, et ses jours fériés.<br /> <br /> Nous naissons avec la capacité d'apprendre comment rêver, et les humains qui nous précèdent nous apprennent à le faire de la façon dont rêve la société. Le rêve de la planète a tellement de règles que lorsqu'un nouvel être humain naît, on capte son attention et on introduit ces règles dans son esprit. Le rêve de la planète se sert de papa et maman, des écoles et de la religion pour nous enseigner comment rêver.<br /> <br /> L'attention est la capacité à être sélectif et à se concentrer exclusivement sur ce que l'on veut percevoir. Nous sommes capables de percevoir des millions de choses simultanément, mais en utilisant notre attention, nous pouvons maintenir ce que nous voulons au premier plan de notre conscience. Les adultes qui nous entouraient, lorsque nous étions enfant, ont donc capté notre attention et introduit des informations dans nos esprits par la répétition.<br /> <br /> C'est ainsi que nous avons appris tout ce que nous savons.<br /> <br /> En nous servant de notre attention, nous avons assimilé toute une réalité, tout un rêve. Nous avons appris comment nous comporter en société : que croire et ne pas croire ; ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas ; ce qui est bon et ce qui est mauvais ; ce qui est beau et ce qui est laid ; ce qui est juste et ce qui est faux. Tout était déjà là : toute cette connaissance, toutes ces règles, tous ces concepts concernant la façon de se comporter dans le monde existaient avant notre naissance.<br /> <br /> Lorsque vous alliez à l'école, vous étiez assis sur une petite chaise et votre attention se portait sur ce que le professeur vous enseignait. Lorsque vous alliez à l'église, votre attention se concentrait sur ce que le prêtre ou le pasteur vous disait. La même chose se produisait avec papa et maman, vos frères et vos s&#339;urs. Tous s'efforçaient de capter votre attention.<br /> <br /> Nous avons également appris à capter l'attention des autres, et développé un besoin d'attention qui est devenu très compétitif. Les enfants se disputent toujours l'attention de leurs parents, de leurs professeurs, de leurs amis : " Regardez-moi ! Regardez ce que je suis en train de faire ! Hé oh, je suis là. " Le besoin d'attention devient ainsi de plus en plus fort et se perpétue à l'âge adulte.<br /> <br /> Le rêve de la planète capte notre attention et nous enseigne ce que l'on doit croire, à commencer par la langue que nous parlons. Le langage est le code de compréhension et de communication entre êtres humains. Chaque lettre, chaque mot de chaque langue représente un point sur lequel on s'est mis d'accord. On dit que ceci est une page dans un livre ; le mot page est un terme sur lequel on s'est mis d'accord. Une fois que l'on comprend le code, l'attention est captée et il y a transfert d'énergie d'une personne à l'autre.<br /> <br /> Vous n'avez pas choisi de parler français. Vous n'avez pas choisi votre religion ni vos valeurs morales : elles étaient déjà là avant que vous ne soyez né. Nous n'avons jamais eu l'occasion de choisir ce que nous croyons ou non. Nous n'avons pas choisi la plus infime des choses à laquelle nous avons donné notre accord. Nous n'avons même pas choisi notre nom.<br /> <br /> Enfants, nous n'avons pas eu la possibilité de choisir nos croyances, mais nous avons donné notre accord à l'information qui nous était transmise sur le rêve de la planète. La seule façon de conserver de l'information, c'est d'être d'accord avec elle. Le rêve de la planète peut capter notre attention, mais si nous ne sommes pas d'accord, nous ne retenons pas cette information.<br /> <br /> Du moment que nous sommes d'accord, nous croyons : c'est ce que l'on appelle la foi.<br /> <br /> Avoir la foi signifie croire sans conditions.<br /> <br /> Voilà comment on apprend quand on est enfant. Nous croyons tout ce que les adultes nous disent.<br /> <br /> Nous sommes d'accord avec eux, et notre foi est si forte que le système de croyance contrôle tout le rêve de notre vie. Nous n'avons pas choisi ces croyances, et nous pouvons même nous rebeller contre elles, mais nous ne sommes pas assez fort pour réussir cette rébellion. Il en résulte une soumission aux croyances, avec notre accord.<br /> <br /> J'appelle cela le processus de domestication des humains. Grâce à cette domestication on apprend comment vivre et comment rêver. Au cours de notre domestication, l'information du rêve de la planète est transmise à notre rêve interne et construit tout notre système de croyances. Enfant, on nous apprend d'abord le nom des choses : maman, papa, lait,<br /> <br /> bouteille. Jour après jour, à la maison, à l'école, à l'église et par la télévision, on nous dit comment vivre, quels sont les comportements acceptables. Le rêve de la planète nous enseigne comment être des humains.<br /> <br /> Nous avons un concept de ce qu'est la " femme " et un de ce qu'est l " homme ". <br /> <br /> Et nous apprenons aussi à juger : nous nous jugeons nous-mêmes, nous jugeons les autres, les voisins. Les enfants sont domestiqués comme les chiens, les chats, ou tout autre animal. Pour instruire un chien, on le punit et on le récompense. De manière analogue, nous formons nos enfants, que nous aimons tant, exactement comme on dresserait un animal domestique : par un système de punitions et de récompenses.<br /> <br /> Enfant, on nous disait : " Tu es un gentil garçon " ou " Tu es une gentille fille " lorsque nous faisions ce que papa et maman voulaient. Lorsque ce n'était pas le cas, on nous qualifiait de " méchant garçon " ou de " méchante fille ".<br /> <br /> Chaque fois que nous enfreignions les règles nous étions punis ; lorsque nous les respections, on nous récompensait. On nous punissait plusieurs fois par jour, et nous recevions également plusieurs récompenses quotidiennes. Bientôt nous avons commencé à avoir peur d'être puni ou de ne pas recevoir de récompense, celle-ci consistant à obtenir l'attention de nos parents ou d'autres personnes telles que nos frères et s&#339;urs, professeurs et amis. Nous avons donc eu besoin de capter l'attention des autres pour obtenir cette récompense. Comme elle nous faisait du bien, nous aussi avons continué de faire ce que les autres attendaient de nous pour l'obtenir. Ayant peur d'être puni et peur de ne pas être récompensé, nous nous sommes mis à prétendre être qui nous n'étions pas, juste pour faire plaisir aux autres, juste pour paraître assez bien à leurs yeux. Nous nous efforcions de faire plaisir à papa et maman, nous voulions plaire aux maîtres d'école, plaire à l'église, alors nous avons commencé à jouer des rôles.<br /> <br /> Nous prétendions être autre que nous n'étions, par peur d'être rejetés.<br /> Suite <a href="http://ingo.e-monsite.com/rubrique,-,59454,1.html">http://ingo.e-monsite.com/rubrique,-,59454,1.html</a><br /> Suite <a href="http://ingo.e-monsite.com/rubrique,-,59454,2.html">http://ingo.e-monsite.com/rubrique,-,59454,2.html</a><br /> Suite <a href="http://ingo.e-monsite.com/rubrique,-,59454,3.html">http://ingo.e-monsite.com/rubrique,-,59454,3.html</a> Mon, 16 Nov 2009 20:29:14 +0100 Et si l'aventure humaine devait échouer ? http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=112#m583 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=112#m583 Publié le 06.01.2008<br /> Et si l'aventure humaine devait échouer ? <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/lu.gif" alt=":lu" class="smiley" /> <br /> <br /> Est repris ici l'un des titres de notre excellent philosophe et humaniste Théodore Monod, Professeur et Membre de l'Académie des Sciences, dernier grand naturaliste de notre temps (il était né en 1902).<br /> Mais pourquoi s'en inspirer ? <br /> La solution de problèmes qui intéressent tout l'avenir de l'Humanité et sans doute même son existence, est bien loin de n'être que technique, d'autant plus que les progrès matériels sont trop souvent l'objet d'applications diaboliques, destinées, par exemple, à tuer mieux, de plus loin et en plus grande quantité, objectifs qui, eux, se voient beaucoup plus substantiellement financés que la lutte contre la maladie, la misère ou la faim.<br /> On en revient toujours au problème central, celui d'une option morale à effectuer et par conséquent d'une philosophie à adopter, d'un choix portant sur la fin de la destinée humaine. Que voulons-nous, que devons-nous vouloir ? Posséder de plus en plus (et "être possédés" !), augmenter notre puissance (matérielle !) et multiplier nos "gadgets" ou viser à un accroissement de l'être, à l'hominisation véritable seule en mesure de nous arracher aux barbaries ancestrales et de rendre enfin possible notre réconciliation avec la Nature ? Continuer à "sacrifier le bonheur" au profit et à la puissance, à rester un "homme vide aux mains pleines" ou bien, tandis qu'il en est temps encore, peut-être, bifurquer hardiment, courageusement, sans arrière-pensée, dans l'autre direction, celle qui fait passer l'homme avant le profit, la croissance spirituelle avant celle du PNB, le bonheur vrai avant la religion de la production ?<br /> Notre liberté de jugement est bien nécessaire à une heure où l'on voit tant de puissants et notoires pollueurs se convertir, au moins en paroles, à la protection de la Nature et même, à l'occasion, la subventionner. <br /> Il a été dit : "La barbarie, c'est de s'éloigner de la nature". Il faudra donc y revenir et d'autant plus qu'il s'agit d'une double exigence, puisqu'il importe à la fois, par une acceptation réfléchie de l'unité des choses et des êtres, de guérir les maux d'aujourd'hui et de prévenir ceux de demain.<br /> Les réflexions philosophiques (en 2000, à l'aube du troisième millénaire) de ce génie aujourd'hui disparu est un héritage E X T R Ê M E M E N T troublant puisque aussi bien, il y a fort longtemps (en 1945), un certain Marc AUMISIER (l'a-t-on connu?), dans son merveilleux (et magistral) exposé sur "Ce que la Vie m'a appris" disait déjà : "Seuls, la passion du bien et le culte du devoir nous rendent dignes du bonheur. La perfection morale est le suprême bien".<br /> Son enthousiasme pour l'abolition du privilège de l'instruction en faveur des riches ne faiblissait point, mais après une expérience d'un demi-siècle, force lui était de reconnaître des résultats décevants dans le primaire. Pour le secondaire et le supérieur, le nombre d'élèves s'avère en raison inverse de la qualité, l'université produisant des demi ignorants souvent plus dénués de bon sens que les ignorants complets.<br /> "J'aime les paysans, disait Montesquieu, ils ne sont pas assez savants pour raisonner de travers". Que dirait-il aujourd'hui s'il revenait parmi nous ?<br /> Mais c'est le moindre mal. Ce qui est infiniment plus grave, c'est que l'enseignement donné dans nos Universités (comme dans tous les pays) est vicié dans son essence même par l'ignorance absolue dans laquelle il demeure à l'égard des causes premières et des lois qui gouvernent le monde visible et invisible. <br /> La cause génératrice et la nature de la vie, du mouvement fluidique, des phénomènes électromagnétiques, de la pesanteur, de la lumière, de la chaleur, de la gravitation, de même que les conditions dans lesquelles les corps organiques prennent naissance, lui sont totalement inconnues. Tout ce qui est en dehors du domaine physique lui échappe entièrement, mieux, il ne soupçonne même pas son existence. C'est ainsi qu'il ne sait rien de notre être immatériel : le secret de la VIE comme celui de la MORT lui est caché. <br /> Notre individualité spirituelle, ce que nous appelons l'âme, subsiste-t-elle dans son intégralité après la tombe, ou les principes mystérieux qui la constituent sont-ils dispersés comme ceux de notre corps et que deviennent-ils ? <br /> Tout ce qu'affirment ou enseignent à cet égard philosophies et religions, ne repose sur aucune preuve. Ce ne sont qu'hypothèses invérifiables, conjectures sans fondement et pures rêveries de l'imagination. Et cependant, rien ne nous importerait autant que d'être fixés sur ces points essentiels. Aussi, dans son impuissance à nous éclairer sur de tels sujets, l'enseignement officiel s'abstient-il rigoureusement de toute incursion dans le domaine de la spiritualité. Sans doute, nous ne pouvons que l'approuver, car elle évite ainsi de soulever en la matière des controverses dont le seul résultat serait de ressusciter les querelles et les divisions qui, si longtemps, ont déchiré l'humanité. Cependant, cette incapacité de concevoir la nature de l'âme, comme celle de l'auteur de toutes choses et à établir la preuve de leur existence, ne prouve nullement la fausseté ou l'erreur de ces conceptions. La négation n'est simplement qu'un aveu de la faiblesse de nos facultés et de l'insuffisance de nos connaissances. <br /> Par suite, sans ces notions, notre conduite morale est privée de toute base et la vie n'a plus d'idéal ou, du moins, son seul idéal, comme l'ont enseigné certaines doctrines philosophiques, se réduit à la poursuite des plaisirs et des satisfactions d'ordre matériel. Mais l'enseignement ainsi compris ne peut aboutir qu'à la stérilisation des intelligences, des coeurs et des consciences.<br /> Comment dès lors, s'étonner de l'avilissement dans lequel l'humanité glisse insensiblement ?! Dépourvue de toute aspiration élevée, indifférente sinon hostile à la distinction entre le bien et le mal, uniquement adonnée à la conquête des richesses et à la recherche des jouissances physiques, elle tend à s'abaisser peu à peu au niveau de l'animalité. Aussi, le règne de l'immoralité, du cynisme et de la violence menace-t-il de se substituer, dans le monde, à celui de la vertu, de la justice et de la concordeET LA CIVILISATION EST SUR LE POINT DE SOMBRER DANS LA PLUS ÉPOUVANTABLE BARBARIE. <br /> À quelle cause profonde faut-il attribuer une pareille déchéance ? À un événement d'une portée incalculable, encore que l'histoire n'en fasse aucune mention : la disparition de la Science antique survenue il y a plusieurs millénaires. En plongeant l'humanité dans les ténèbres, cette catastrophe a rendu possible le triomphe de l'imposture dans tous les domaines, celui de la science comme ceux de la religion et de la politique. L'imposture est devenue maîtresse souveraine du monde. Notamment, tout ce que l'on enseigne n'est qu'apparence, erreur ou contre-vérité. Mais il est permis d'espérer que ce règne du mensonge et de l'illusion prendra fin, ce qui répondra à l'attente d'intellectuels d'élite qui en tous pays ont conscience du néant de la science moderne et pressentent que la lumière jaillira de la nuit qui nous environne. Mais cet événement soulèvera une opposition désespérée car les ténèbres sont à l'oeuvre depuis très longtemps et ne peuvent spontanément lâcher prise.<br /> C'est là qu'intervient la Science des Anciens. Des technologies avancées furent développées il y a plus de 12000 ans que des bouleversements géologiques affectant le monde entier (particulièrement l'Europe et l'Amérique) ont détruit et l'homme ainsi que la nature en partageraient la responsabilité.<br /> De plus, notre histoire est une suite ininterrompue de guerres et d'invasions. La guerre, à bien des égards, serait le moteur de la technologie. L'homme massacre l'homme, provoquant le regard apitoyé et attristé des dieux. Platon et les prêtres égyptiens nous ont conservé le récit d'une civilisation qui fit la guerre au reste du monde et amena le désastre. Les guerres d'aujourd'hui s'enracinent dans l'histoire ; création du christianisme, création de l'empire islamique, création de l'Etat d'Israël, conflits des adversaires d'autrefois pour le contrôle des terres et des sources d'énergie. La guerre russo-tchétchène fournit un autre exemple où les oppositions religieuses se combinent avec le désir d'accaparer les richesses pétrolières de la Caspienne. <br /> Aujourd'hui la technologie vient à nouveau de franchir un point de non-retour. <br /> Sommes-nous prêts à nous hisser au niveau supérieur ? À accéder au niveau de la technologie des dieux, celle qui aidera l'homme à vivre en harmonie avec la nature et avec son semblable ?<br /> Que faut-il penser de tout cela ? Faut-il se détourner et se replier sur son ego... comme l'autruche qui enfouit sa tête pour ne plus voir ? <br /> <a href="http://www.espritdalliance.org/article-29.html?PHPSESSID=31a2867026224b6deae77122cd70e0df">http://www.espritdalliance.org/article-29.html?PHPSESSID=31a2867026224b6deae77122cd70e0df</a> Sun, 15 Nov 2009 15:34:38 +0100 Le respect http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=24#m219 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=24#m219 Que puis je ajouter ? rien, tout est dit. <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/clap.gif" alt=":clap" class="smiley" /> Sun, 08 Nov 2009 20:01:37 +0100 La communication non-violente http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=26#m96 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=26#m96 Je reposte cette petite présentation parce que je crois qu'une bonne communication est fondamentale.<br /> <br /> La Communication Non Violente est un ensemble de concepts et d'outils destinés à permettre aux gens d'établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres. Le terme non-violent est en référence au mouvement de Gandhi et signifie ici le fait de communiquer avec l'autre sans lui nuire.<br /> <br /> La méthode de la CNV peut être résumée comme un cheminement en quatre temps :<br /> <br /> Observation : décrire la situation en termes d'observation partageable ;<br /> Sentiment : exprimer les sentiments vécus dans cette situation ;<br /> Besoin : clarifier le(s) besoin(s) ,<br /> Demande : faire une demande respectant les critères suivants : dans l'instant présent, réaliste, réalisable, négociable, précise et formulée positivement.<br /> <br /> Cependant, il ne s'agit pas d'une manière de parler qu'il faudrait suivre à tout prix. Les concepts proposés sont des guides ou des aides, destinés à faciliter l'expression de la bienveillance, et non pas des règles à suivre.<br /> <br /> <strong>Une bonne observation</strong><br /> <br /> Afin d'arriver à une observation précise, il vaut mieux éviter d'y mêler des évaluations et des jugements. Si notre interlocuteur se sent jugé, il aura tendance à s'investir dans l'autodéfense plutôt que la compréhension. Par ailleurs, les évaluations rendent le monde statique, alors qu'il est en transformation constante. Comme l'explique Wendell Johnson, le langage est un instrument imparfait invitant à parler de stabilité et de normalité, alors que la réalité est changeante et faite de différences. La CNV recommande de parler de faits concrets pour décrire les événements plutôt que d'attribuer des caractéristiques définitives à l'interlocuteur ou au monde. Par exemple, si l'on traite notre interlocuteur de fainéant, on l'enferme mentalement dans une case, alors qui si l'on parle de faits concrets, on ouvre la possibilité de formuler des demandes d'actions précises à réaliser dans le futur.<br /> <br /> <strong>Exprimer ses sentiments</strong><br /> <br /> Afin de pouvoir communiquer ce qui se passe en nous, la CNV nous invite à développer un vocabulaire affectif pour exprimer toute la palette d'émotions qui peuvent nous toucher. Un des pièges habituels dans l'interprétation de nos sentiments est de faire l'amalgame entre nos émotions et la perception que nous nous construisons de l'autre, de ses agissements et de ce qu'on imagine faire. Par exemple, si l'on dit à quelqu'un qu'on se sent ignoré par lui parce qu'il ne nous a pas dit bonjour, on ne décrit pas nos sentiments mais notre interprétation de son comportement. Nos sentiments peuvent ici être de la tristesse ou de la frustration.<br /> <br /> <strong>Exprimer les besoins</strong><br /> <br /> Quand nous ne sommes pas conscients du lien entre nos besoins et nos sentiments, nous limitons souvent la cause de ces derniers aux seules actions des autres. Entre les actions des autres et nos sentiments, il y a nos besoins qui sont un élément de causalité intermédiaire. D'où l'importance de déterminer les besoins et de les assumer. Par ailleurs, si l'on accompagne nos demandes de l'explication des raisons profondes, on permet à l'autre de nous comprendre et, si jamais il ne peut accepter ce que nous demandons, il proposera plus spontanément une alternative permettant de satisfaire à la fois le porteur de la demande et lui-même.<br /> <br /> <strong>Demander les actions que l'on souhaite</strong><br /> <br /> Selon les principes de la CNV, il ne faut pas utiliser les exigences, la menace, les ordres ou la manipulation. Il s'agit de traduire nos besoins généraux en demandes concrètes, c'est-à-dire concernant des actions précises nécessaires pour satisfaire les besoins les plus urgents. Fri, 06 Nov 2009 21:10:19 +0100