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Derniers sujets du forum http://nouvelordremondial.lescigales.org Derniers sujets du forum (C) 2005-2009 PHPBoost fr PHPBoost La crise emission http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=220#m1261 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=220#m1261 Ecoutez l'emission de Pierre Jovanovic, très interessant <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/lu.gif" alt=":lu" class="smiley" /> <a href="http://www.ustream.tv/recorded/2750251">http://www.ustream.tv/recorded/2750251</a> Wed, 09 Dec 2009 20:25:25 +0100 P = MV + M1V1/T http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=180#m990 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=180#m990 <p style="text-align:left">......texte trouvé sur le web dont je trouve intéressant apporter ici... <br /> <br /> <span style="color:orange;"><strong>P = MV + M1V1/T<br /> <br /> P désigne naturellement les prix, M désigne l'argent en circulation, M1 désigne l'argent de l'épargne, tandis que V et V1 représente la vitesse à laquelle ces deux formes d'argent seront dépensées. </strong></span>Keynes, partant de cette formule, conseilla aux Etats de veiller à ce que l'argent circule à la plus grande vitesse possible. Pour cela, il fallait que les employés puissent dépenser eux aussi, pour assurer qu'un maximum d'argent circule dans un minimum de temps ( Kenneth Galbraith, The Age of Uncertainty, Boston, Houghton Mifflin, 1977, 193-195).<br /> <br /> Du point de vue de barons, cette formule impliquait fâcheusement que les prolétaires aient accès eux aussi au luxe, et au superflu. Mais, par contre, on trouvait ainsi une solution au problème de l'usage des excédents générés par les moyens de production industriels modernes. Il y avait là un compromis historique génial. D'une part, les barons abandonnaient leur prétention à s'accaparer tous seuls des luxes pour leur consommation bruyante personnelle, mais, d'autre part, ils obtenaient une certaine assurance contre les dangers d'un bouleversement provoquée par l'impatience des prolétaires perpétuellement privés du nécessaire pour assurer le luxe des propriétaires, ainsi qu'un débouché pour les superflus.<br /> <br /> La société de consommation, à partir de 1945, ce démocratisa. On a appelé ce mouvement historique les Trente Glorieuses. Il devint donc possible pour chacun, même au plus pauvre, de s'acheter du superflu. On peut observer le phénomène en marche dans n'importe quel magasin du dollar. Mais la petite affiche jaune &lt;&lt;24 heures sans consommer&gt;&gt; nous rappelle que le mot n'a pas tout à fait fini d'évoluer. L'appel ne s'adresse pas à ceux qui &lt;&lt;détruise par l'usage&gt;&gt;, mais à ceux qui &lt;&lt;se détruise par l'usage&gt;&gt;, non seulement par les drogues, mais par la course à l'achat du superflu. Faire usage est devenu une obligation, et on en oublie certaines nécessités, comme le repos, et la tranquillité. Qui a vraiment besoin de deux magnétoscopes ? Qui a besoin d'un poêle au gaz propane, sauf peut-être le suicidaire ? Qui a vraiment besoin de cinq téléphones ? La consommation démocratique confirme la prévision du Chancelier Robinson, qui se trouvait à dire en langage parlementaire, que les produits nouveaux commencent par être un luxe, puis sont considérés comme des nécessités, au détriment des vrais nécessités que sont le repos, l'air et la nourriture.<br /> <br /> Les barons n'ont pas mal calculé, car au fond le consommateur, et sa fiancée, comme dirait Pierre Foglia, se détruit au travail pour acheter des objets inutiles, ou au moins superflus, pour assurer aux barons, malgré la pénurie de guerres 1914-1918, des profits satisfaisants. Ils ont appris à vivre dans le luxe, et le grand luxe, discret. Les manières des capitalistes se sont améliorées, dit Galbraith, mais probablement pas leur moralité. On retrouve dans ce système économique, dans lequel les pauvres se tuent à détruire par usage des excédents qui servent à générer des profits pour les possédants, un écho du texte de Jonathan Swift (1667-1745), l'auteur des Voyages de Gulliver, titré A Modest Proposal. Sur un mode ironique, Swift propose dans ce texte que la pauvreté des Irlandais pourrait être soulagée si les enfants des pauvres étaient engraissés et vendus comme mets délicats pour les palais des riches.<br /> <br /> Dans une perspective historique de temps long, comme disent les historiens de l'Ecole des Annales, nous pouvons observer que la société industrielle occidentale s'est trouvée, en partie consciemment, devant un choix lors de sa naissance. Les Physiocrates proposaient un développement surveillée par l'Etat, fondé sur l'assurance des besoins essentiels à tous, comme garantie de progrès, thème partagé par tous les penseurs des Lumières. Mais les décideurs, les responsables de l'Etat du temps, les premiers industrialistes, les grands propriétaires terriens détenteurs du principal capital du temps, ont choisi le chemin de Forbonnais, ou d'Adam Smith. Au lieu de réinvestir les surplus dans l'amélioration de la production, surtout de l'agriculture, ils ont accélérer la course en avant de la consommation des surplus de plus en plus grand de produits superflus, ou de luxe, selon le sens de Quesnay. On peut mesurer les conséquences de ce choix, non seulement en pensant aux trois magnétoscopes, mais en rappelant brièvement la plus fondamentale pénurie dans le monde. <span style="color:orange;"><strong>Dans la plus grande partie du monde, il y a une pauvreté fondamentale, celle de l'absence du nécessaire. D'où vient le nécessaire, la nourriture, les vêtements, l'abri ? La réponse est simple: il vient de la terre. Si la terre peut produire assez pour tous, on commence à s'échapper de la pauvreté. </strong></span>Sinon, il y a deux résultats possibles: les hommes partent, deviennent des immigrants, ou ils meurent ( Kenneth Galbraith, The Age of Uncertainty, Boston, Houghton Mifflin, 1977, 280-283). Quesnay fréquentait la cours de Louis XV et madame de Pompadour, deux mauvaises connaissances. Mais on ne peut que se demander si son programme n'aurait pas donner moins de luxe mais moins de dévastation. Il y a eu pendant le 19e siècle d'autres penseurs, comme Sismondi (1773 - 1842), pour proposer que l'économie politique, selon le modèle de Rousseau, devrait viser la satisfaction des besoins humains, dans une perspective collective, mais leurs avis, comme ceux de Quesnay, ont été écartés par les barons. Si on avait suivi leur chemin, consommer voudrait peut-être dire &lt;&lt;utiliser pour ses besoins&gt;&gt;, et il n'y aurait nul besoin d'affiche jaune pour avertir les hommes qu'ils se détruisent. </p><br /> <br /> <a href="http://www.cdrummond.qc.ca/cegep/schumaines/Professeurs/Corbeil/Reflexions/consommer.htm">http://www.cdrummond.qc.ca/cegep/schumaines/Professeurs/Corbeil/Reflexions/consommer.htm</a><br /> <br /> <br /> <br /> Le libéralisme économique, classique ou néo-classique, ne peut exister que dans un cadre institutionnel qui garantisse certains droits : tout d'abord le respect de l'état de droit, dans son acception de Rule of Law, comme l'a en particulier souligné Friedrich Hayek. De même, Karl Popper reprochait à Mikhaïl Gorbatchev d'avoir mis en place la bourse de Moscou avant d'avoir assuré les institutions garantissant l'état de droit[7]. En outre, le respect tout particulier du droit de propriété est l'une des composantes essentielles de ce cadre; <span style="color:orange;"><strong>comme le notait Milton Friedman dans ses mémoires, le droit de propriété est « le plus basique des droits humains et un fondement essentiel de tous les autres droits</strong></span> »[8]. La liberté contractuelle s'impose par ailleurs comme un troisième fondement majeur, avec l'assurance de la mise en &#339;uvre du contrat par le système judiciaire en cas de manquement. Enfin, la liberté des prix a été fortement mise en avant comme fondement essentiel, particulièrement par des auteurs de l'école autrichienne d'économie : Ludwig von Mises insiste sur l'importance des prix comme moyen de coordination des actions individuelles, tandis que Friedrich Hayek souligne pour sa part l'importance des prix pour assurer la communication de l'information détenue par des millions d'individus. Jacques Rueff faisait pour sa part d'un système de prix libres la condition caractéristique d'une économie libérale.<br /> <br /> Dès lors, un État ne respectant pas ces fondamentaux ne peut pas être qualifié de libéral, et encore moins d'« ultra-libéral ». C'est ce que souligne le journal britannique The Economist dans son numéro Don't mess with Russia du 16 décembre 2006 à propos de la Russie post-communiste.<br /> <br /> http://fr.wikipedia.org/wiki/Libéralisme_économique<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Sat, 28 Nov 2009 15:25:56 +0100 Une lueur d'espoir de changement ? http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=115#m777 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=115#m777 <span class="text_blockquote">worldpeace:</span><div class="blockquote">Comment définiriez-vous le simple fait d'avoir le droit d'avoir un patrimoine alors, un chez soi, des choses à soi ?</div><br /> <br /> worldpeace, nous avons tout les droits ! Mais aussi la responsabilité de la justice sociale... Comment je l'appellerais ? Ça prend absolument un nom, un système ? Disons le gros bon sens, ou si tu préfère, l'ordre, l'équilibre naturel <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/clindoeil.gif" alt=";)" class="smiley" /> Thu, 19 Nov 2009 20:29:13 +0100 Quel rapport entre crise économique et terrorisme ? http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=107#m563 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=107#m563 Quand ça marche une fois ... Pourquoi changer une recette gagnante ? <img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/hehe.gif" alt=":hehe" class="smiley" /> Sun, 15 Nov 2009 12:22:00 +0100 Un an et demi de sursis pour les usa ? http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=100#m511 http://nouvelordremondial.lescigales.org/forum/topic.php?id=100#m511 Ah oui, tant que ça ! J'aurais dis moins longtemps... Mieux vaut tard que jamais !<img src="http://nouvelordremondial.lescigales.org/images/smileys/rire.gif" alt=":lol" class="smiley" /> <br /> <br /> Sérieusement, nous en souffrirons tous. Ici, en plus, nous sommes leur voisin, leur partenaire économique direct. Quand eux ont la grippe c'est nous qui toussons... <br /> <br /> Dommage que la première chose que nous partagions équitablement ( entre nations, pas entre individus ) soit une crise sévère ... <br /> <br /> Souhaitons que du chaos naisse l'Homme nouveau ! Sat, 14 Nov 2009 11:16:52 +0100