le Nouvel Ordre Mondial

Oui, craignez pour votre avenir !
Nous entrons maintenant dans le sommet de l’instabilité mondiale.
L’avenir, au début du 20ème siècle, était dans la croyance que la science donnerait  à l’homme la liberté à laquelle il aspirait.
Aujourd’hui, en ce début de 21ème siècle, et après bien des illusions, l’homme a perdu la notion de liberté, d’humanisme, de partage, et n’aspire plus qu’à vivre vieux, aisé, et s’est même résigné à devoir être malade d’un je ne sais quel cancer …
C’est dire si la chose est grave !
Comment a-t-on pût passer du rêve à la désillusion ?
Je vous le demande…
L’analyse semble compliqué… Mais en fait elle est très simple.
On nous vends du rêve en permanence, mais du rêve illusoire et trompeur, si bien qu’on ne sait plus ce que sont nos réels désires, envies et même fantasmes !
Tous est préfabriqué, normalisé, breveté aux services d’un dogme qui prône le « toujours plus » à la solde de noyaux de décideurs qui tendent maintenant à s’unifier mondialement à l’instar d’un Empire Mondial.
La libre création n’existe que dans certains contexte bien précis et déterminé à l’avance par de bien veillant savant fou jouant avec le feu.
L’homme pense penser par lui même, mais en fait il n’est que le reflet de ce qu’on lui donne à travers un miroir qu’est la télévision et tous autres médias-marchand.
Certains s’en détachent, au grand damne des bonnes gens qui les accuses d’hérésie à leur Modèle. Et là est tout le problème.

Quel modèle suivre ?
Celui qui nous mène depuis ma naissance, et bien avant, à endurer toujours plus pour perdre notre vie à la gagner ?
Je chie littéralement sur vos institutions, gouvernements et cercles d’influence (think tank), de tous bords qu’ils soient !
Je chie sur vos politiques politiciennes qui sont le mégaphone d’entreprise médiatique et populaire aux services des plus beaux mensonges étatique, car vos projets ne sont guidés que par l’instauration d’un nouveau dogme pour faire plier une fois de plus ceux en désaccord.
Le pire, c’est que tout le monde le sais, mais peut s’en inquiètent, et encore moins se révoltent…

Que faire ?
Écartez les médias de vos esprits, coupez vos I-phones et autres parasites qui viennent perturber les moments où vous pouvez vous retrouver avec vous même.
Et voyez, ouvrez les yeux, observez le pourquoi du comment, à la manière d’un enfant qui découvre ce qui l’entoure.
Posez vous des questions…
L’homme n’aspire-t-il qu’à vouloir avoir ?
Ne préfèrerait-il pas être tout simplement ?
Avoir pour être ou Être pour avoir … ???
La question reste ouverte, mais peut veulent y répondre.

C’est par le chaos qu’est engendré l’évolution depuis des temps immémoriaux.
Je vous propose donc de vous retourner le cerveau pour voir le bas du haut, le blanc du noir…
Redevenez ce que vous étiez étant enfant, voyez avec votre cœur et par Amour.
Émancipez vous de vos peurs, de vos obligations à croire à ce que vous ne croyez pas, à avoir ce que vous ne voulez pas, et surtout à savoir ce que vous voulez savoir et non ce qui vous est imposer comme une vérité !
Ne craignez pas d’être lent, craignez d’être à arrêt.

Nous sommes tous fait de la même eau. Cette eau passe de vous à moi en permanence, ne l’avez vous pas remarqué ?
Nous pouvons tout arrêter, ou nous pouvons reprendre, sachez que nous sommes maitre de nos destins.
La synchronicité est l’élément déclencheur de grande chose. Peut importe alors nos idéos, car l’action entreprise est commune d’un commun accord silencieux et pourtant bien présent  pour un changement immédiat.
Ce moment délicieux où tout le monde se met à rêver, ne pourrions nous pas le prolonger pour vivre ainsi ?
Après tout l’homme est un doux rêveur, et ceci le guide toujours plus de l’avant, enfin cela devrait l’être, car il n’en n’est point !

Ceux qui détiennent les rênes instaurent à chaque chaos un nouvel ordre, un nouveau modèle bien pensé à leur profit au lieu de laisser naitre le désire de liberté sommeillant en chacunNE de nous.
Il nous font stagner ainsi depuis des lustres maintenant et cela bloques la plus part d’entre nous à pouvoir voir autre chose de nous même.
Il n’y a pas de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. 
Vox populi.